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bbianchi

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#306251 En Irlande

Posté par bbianchi - 18 août 2015 - 06:54

L’Irlande ici

Est merveilleuse

Aux pubs noircis

L’heure est heureuse

 

Une musique

Redonne espoir

En notre époque

Pour vous revoir

 

Grand-mère aimée,

Père pour qui

Vont mes pensées

B. Bianchi




#282855 Solange (en cours) Part 1 narcisse

Posté par bbianchi - 18 octobre 2014 - 10:50

Style a moitie pompe sur Heredia et cacophonique:" Les ans ignores" égal "lezanzignore" pas terrible...


#247556 L'armée Romantique - L'Ennemi

Posté par bbianchi - 05 décembre 2013 - 09:11

Non non! Romantique incurable! En fait L'armée Romantique sera un ensemble de poèmes reliés entre eux et qui seront justement très lyrique. Dans celui-ci je critique le culturisme. Après c'est vrai que j'ai écris un sonnet,qui est la forme favorite des poètes parnassiens, mais il y a aussi du très bon dans le mouvement Parnasse!




#247551 L'armée Romantique - L'Ennemi

Posté par bbianchi - 05 décembre 2013 - 08:27

Fièrement dressés aux mouvements de trident

Corrodant la nuit et précédés d’un quadrige

Fantassins voués à leurs Venus Callipyge

Grouillent par centaines dans un val débordant

 

Tirés par des ânes, cet ost outrecuidant

Déploie des canons de chairs que chacun érige

A la force des bras, carcasses de prestige

En quête de toutes les faveurs d’Occident

 

Succubes et circés dans ce déferlement

Répriment tout écarts où, en un hurlement

Ruisselle cette horde autour de leurs cheffesses

 

Quand, entrainés dans cet élan d’insanité

Leur belle déesse regarde encor ses fesses

Nous convergeons pour que leurs chairs soient vanité




#245938 Camille

Posté par bbianchi - 14 novembre 2013 - 06:48

Flottent le lichen et les guirlandes de lierres 

Sous la tonnelle de vignes et de charmilles

L'aube orange notre balade familière

Jusqu'aux premiers étangs, où tu danses Camille

 

Cheminant encore sans direction précise

Hormis celle de ta peau où je m'éternise

Rien n'égale en douceur ta plume de flamant

Et tes joues que ma barbe assiège patiemment

 

Tes bras glissent sur mes épaules et m'assaillent

Et quand s'épanouit ta coche de corail

Se consume sur tes lèvres endolories

Un baiser d'automne d'une brève euphorie

 

Maintenant s'éclaire le haut de ton museau

Notre pas de deux se ralentit en présence

D'un vieillard voûté sur sa canne de roseau

Ainsi s'interrompent nos instants de plaisance.