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Publications sur Toute La Poésie

Amis handicapés je vous comprends

03 août 2020 - 03:39

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     Amis   Handicapés  je vous comprends

 

 

Amis Handicapés je vous comprends

Les  parkings sont  réservés à votre présent

Mais n’est-ce pas si tentant

De s’y poster  indifférent

Quand cent fois au tournant

Pour trouver le stationnement

On aperçoit cent fois, là  devant nous  libre

L’ici   pour’ l’impotent,  place de son guibre

Facile est-il de s’y glisser pour un   instant

Afin de ne  risquer comme bon négligent

L’acte d’une morale sur le fil se balançant

Entre la vertu du bon  acte  s’affirmant

Et le mal du vice déposant  par le  présent

La tentation alors  qui n’a rien d’excusant

Mais demandons-nous, serai-je ce   vil  fautant!

Pour qui tourne  en rond  sans illusion

 

Voilà bien le procès

De ces scélérats blasés

Par des lois inadaptées

Que font intransigeants  respecter

Des policiers assermentés

Toujours surexcités

Pour verbaliser

Afin de réaliser leur quota

Au débit de ce ceux

Pris sans ménagement

Par le temps du  dépassement

Aux   politiciens je leurs dirai: il y a manque

0n doit se  plaindre de ce  manque abusif

Désagrément  du trop peu

De place de   parking dans la cité

(Particulièrement quand le  stationnent aisé

Est utilisé pour des futilités)

Amis handicapés

Notre problème est aussi le votre

Sont-ils  eux,  responsables de votre sécurité

Aussi a vous ; ô mes  Amis handicapées !

Nous vous le devons tout autant  par solidarité.

Afin que chacun retrouve sa place dans la cité

©ƒC

 

 

Le rouge filet de sang

31 juillet 2020 - 02:56

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Un rouge filet de sang

 

 

Il était ce soir, je fus fiancé du noir

Qui m’offrait  gentil sa solitude

Là mon sourire d’amertume

A pleuré son trop pleutre  bonsoir

 

Les aux revoirs ont le devoir

De vous laisser à la peine

Engoncé dans votre haine

Qui braille à  chaque fou soir

 

Là vos yeux se ferment morts

Sur la dernière image de celle

Que vous pensiez immortelle

Et l’impossible soudain vous mord

 

Les fenêtres de ma vie sont closes

Flous s’éloignent les paysages

De sa beauté et je m’enrage

Stupide réalité qui lâche s’impose

 

Un rouge filet de sang me repose

Se tourbillonne lentement  ma vie

La vague se va là bas vers mon lit

Et mon corps chahute sa nuit : Il ose

 

Réveil infernal, l’impensable  fait

D’une douce empreinte indélébile

Que  jour voulu  cacher futile

Pour m’assurer  cet amour de la vie drêvée.

 

Il sera ainsi que  dans le confus de demain

Mes amis !  Jour pour moi ne sera plus

Resterons là,  dans la  lumière  à peine retenue

Mes quelques mots beaux pour un  nouveau gai matin

©ƒC

 

 

 

Rêver à cette paix

30 juillet 2020 - 02:50

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ver à cette paix

 

 

Ma colère a déchiré le temps

Pestant contre le mauvais de la guerre

Incrédule  de la vie comme naguère

Je voudrai couper l’avenir  du dément

 

Les démons de la tristesse

Se sont emparés  sans rémission

Du  fléau de l’immensité des aversions

Celui de mon esprit dépourvu de délicatesse

 

Il frappait contre le roc de  ma pensée

Pourquoi! Cherchait-il l’ouverture

Lui permettant de comprendre les blessures

De tous ces enfants morts par fatuité

 

Faut-il survivre hors la  conformité de la liberté

A  tous ces outrages que le temps ne peut

Ne veut éteindre dans l’habilité d’un couvre feu

Lâche, il se va, d’indifférence  pour ces maltraités

 

Comment l’arrêter pour geler les instincts

De ceux qui prône la mort au nom de quoi

Au nom de qui, pour qui ;  gens trop  sournois

Ils vous offrent l’enfer comme merveille d’un  destin

 

Mon sang extirpe de sa lave, bouillon de rudesse

Un  petit reste de lucidité s’agrippant à la solidarité

Pour rêver, oui pouvoir  rêver avec autorité

A cette paix  qui à nos pieds vit dans sa paresse

 

O  gens d’affabilité donnez lui ce pouvoir

Pour  prendre le temps de recouvrir

Notre monde des innocents et les faire sourire

A cette vie d’éternité comme  assurance du  devoir

©ƒC

 

 

 

Les canons tonnent

29 juillet 2020 - 03:22

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Les canons tonnent

 

Les canons tonnent

Les innocents entonnent

Des prières aux hommes

Pour qu’ils abandonnent

La soif du pouvoir qui ballonne

Leur liberté aphone

Qu’à la paix ils s’adonnent

Sur des terres qui garantissent

Un avenir où  vrombisse

La joie, le bonheur qui détonne

Homme  avide  de polynômes

Que cesse votre axiome

Du bien pris sur l’aune

Des malheurs  monotones

Les religions ne doivent être aumône

Pour faire valoir la mort des hommes

 

Braves gens,  crier le fort de  votre voix

Pour que  demain enfin l’on entrevoit

La fin des blessures de toutes vos demeures

Où se nichent les innocents dans cette gageure

Arche de pleurs étouffant d’ignorance  leur joie

Que la solidarité soit  que la guère plus  ne soit

Que tous vos chez soi

Soient recouverts par un ciel d’émoi

Où seule  la paix ordonnera  sa loi

©ƒC

 

 

O belle rimades

13 juillet 2020 - 12:57

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O belles rimades

 

Amis du  poète
Je suis de  bohème
Et je parsème
Simplicité de mes poèmes

 

En ce là, où on les écoute

 Sous la croûte

D’une  voûte
Où la joie vous envoûte

 

Elles coulent dans le  rythme

De la musicalité de leur intime

Comme ruisseau dans les ravines

Vous offrant fraicheur divine

 

Leurs pieds se sont posés
Avec agilité
Sur les esprits se confiant à leur clarté
A leur convivialité
A leur amabilité
s’y adossant avec  solidarité
 

Alors est-il que  je m'émerveille

 Quand  on me veille
Sans sommeil
Jusqu’au levé de l’éveil
 

Mon doux chagrin
Suinte aux  heures du  matin

Comme un grand gamin

Voyez ! Il est larmes de  bonheur
Qui à toutes heures

Pétillent au touché de vos saveurs
Que n’est t’il pas ce meilleur
Plus que tout autre d’ailleurs

Qui vous épouse   en   grand seigneur
 

Alors amis du poème de bon genre

Empoignez la barre
De mon inspiration, elle se pare
Sans retard

Des lumières de mon regard

Qui accompagne mon esprit bavard

Afin de   détrousser  bon départ

¤

Aussi venez, lisez ! Ce que sont mes rimades

Elles seront aubades

Elles seront sérénades

Pour vos joies en ballade

Au fond de votre esprit en escapade

Qui s’enivrera nonobstant d’en être malade

En vos soucis experts d’algarades  

Qui Dévorent  vos  vies en leurs incartades

Que mes rimades ne vous soient dérobadzs

©ƒC