Les récits sont
peuplés de femmes fortes.
Qui en leur sein, la vie portent.
On les dit élégantes et raffinées,
elles ne demandent qu'à être aimées.
Elles sont mères, sœurs ou bien filles,
Qu'elles restent naturelles ou se maquillent.
Leur courage vaut bien celui des hommes.
Même si leurs noms, dans l'Histoire, détonnent.
Les mentalités ont pourtant bien évoluées.
On les considère à présent, c'est bien mérité,
Comme des héroïnes, venues du passé.
Toutefois encore
s'attardent,
Des idées
persistantes
Les femmes baissent la garde
Mais restent tout de même méfiantes.
f Elles furent résistantes, f
e Encore elles vous enchantent e
m Elle furent exploratrices m
m Chercheuses ou bien nourrices. m
e Éprises de justices, e
Elles furent guerrières ou Justes
Cuisinières, et bien plus...
Certaines d'entre elles furent brûlées,
d'autres encore plus sévèrement condamnées.
Parce qu'elles se battaient, pour leur liberté.
Certaines d'entre elles, furent mises au fer,
tandis que d'autres, sous les bombes pleurèrent.
Aujourd'hui, j'espère que le temps de cette poésie,
Je vous aurais transporté à travers leurs vies
Leurs noms sont écrits en lettres de sang dans l'Histoire
Vestiges d'une époque où leur avenir fut bien noir
Rappelons-nous à jamais de leurs histoires...
Ava
Inscrit(e) : 11 janv. 2014Hors-ligne Dernière activité : mai 21 2018 10:12
À propos de moi
Je suis Virginie et je me passionne depuis longtemps pour la poésie.
J'adore aussi écrire des histoires (de genre fantastique en particulier) et mon rêve serait d'être publiée un jour.
J'espère que mes poèmes vous plairont^-^
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Publications sur Toute La Poésie
Riche d'être femme (calligramme)
20 mars 2018 - 07:09
Il tourne le temps...
11 juin 2014 - 07:54
Tandis que le temps se gâte
Et que la Mort nous guette
J’entends encore le tic-tac
Que jamais rien n’arrête.
Le temps est si rapide
Et les journées si vides
Apparaissent les rides
Dans l’ombre, l’arachnide.
Elle tisse autour de nous
Une toile indestructible.
Elle nous a pris pour cible
Nous finirons au trou.
Mon enfance s’efface
La vieillesse se profile
Des souvenirs fugaces
Et j’ai perdu le fil
L’horloge tourne encore
Je voudrais l’arrêter
Mais les aiguilles en or
Continuent d'avancer.
J’étais dans ma maison
Maintenant je l’ai vendue
La pendule tourne en rond
Je finis dans la rue.
Mes parents sont partis
Mes enfants ont grandi
Je leurs dis mes petits
Profitez de la vie !
Un malheur arriva
Et je n’étais plus là.
Mais le temps continua
Insensible, m'abandonna.
De nous, il ne reste que des photos.
De notre identité, rien que des mots.
Des gens se demandent qui est
Cette femme aux cheveux de jais.
Je voudrais leur faire un signe
Leur écrire quelques lignes.
Leur dire ne pas gaspiller le temps
Mais de le garder précieusement.
Mais il reste un espoir
Une lumière dans le noir
Qu’ils réalisent leurs rêves
Avant que tout s’achève !
Dans les mains, un sablier
J’ai envie de le briser
Mais je ne peux rien y changer
Leur temps est écoulé !
D’autres les remplaceront
Des mauvais et des bons.
Mais certains se tourneront vers le passé
Tentant d’imaginer les gens qui les ont précédés
Lorsqu'ils penseront à ceux qui les ont quitté
Ce jour-là, j’aurai enfin gagné !
Le général qui a défié son maître
01 juin 2014 - 03:24
* Inspiré du Film Gladiator
Tu étais général
Son cœur était glacial
Tu devins son esclave
Lié par les entraves
Traîné dans le sable
Ta vie en un instant
Se brisa dans le sang
Gladiateur à présent
Encore refusant
De rentrer dans le rang
Tu devras batailler
Et oublier tes peurs
Tu ne pourras pas gagner
Mais défieras l’empereur
Acclamé par les spectateurs
Il faudra pourtant que tu meures
Tu retrouveras ceux que tu aimes
Ecrasant avant, celui qui le mal sème
Sous le soleil qui brille
Tu retrouves ta famille
Tourné vers le ciel bleu
Tu implores tes Dieux
La foule t’admire toujours
Un pouce levé, l’amour
Une femme retient son souffle
Tu glisses dans le gouffre
On ne te tuera jamais
A tes pieds des bouquets
L’empereur est stupéfait
Il pensait que tu lui obeirais
De tous tu obtiens l’intérêt
Et il sera défait !
Lui qui se croyait si fort et si puissant
Réalisa qu’un jour, tourne le vent
Abandonné par ses plus fidèles soldats
Il sera bientôt vaincu, sa vie s’achèvera
Mais toi le général, l’esclave, l’homme
Le « grand héros », ainsi qu’on te surnomme
Tes yeux se fermeront, tu tomberas dans l’arène
Un tout dernier baiser, t’offrira la Reine
Après tout ton destin était de te sacrifier
Pour que tous soient heureux pour l’éternité !
Perle de femme
25 janvier 2014 - 05:45
Les murs se souviennent
25 janvier 2014 - 05:31