justwritre

oui oui c'est une idée merci

Je ne suis visible que si vous voulez me voir,

Je ne parle que si vous voulez m’entendre,

De moi-même je ne peux rien vouloir,

Je vous l’expliquerai si seulement vous voulez comprendre.

Je n’écris que si vous voulez me lire,

Ne souris que si vous me le demander,

Ce que je suis je voudrais vous le dire,

Si seulement vous voulez m’écouter.

J’ai un sourire aussi trompeur que l’apparence,

On ne peut pas caché qui l’on est comme un lépreux ne peut cacher son apparence.

C’est une façade parmi plusieurs,

Juste un mensonge en trop,

Car c’est soit Dieu ou le diable,

Un homme qui est mais qui prétend être un autre,

N’est pas un homme fiable.

Si je ne suis plus celui que je suis c’est parce qu’a m’en trop persuadé je suis devenu un autre.

Face à face avec la réalité,

Derrières soi toutes les banalités,

Tes espoir tombe c’est la gravité,

Dans ce monde, besoin d’existé.

Parfois je vois des mirages,

Mais il n’y a pas de désert,

Peut être serais-je en âge,

De ne pas voir les choses en clair,

Mon meilleur miroir est ce que j’écris,

Car ce que j’écris reflète mon vécu,

Mon vécu me rappelle qui je suis,

Ce que je suis, parfois ne me plaît plus,

Ce que je ne suis plus parfois j’ai envie de l’être,

Un enfant, dans ses yeux qui avais une lueur de sincérité,

Au fil du temps, toutes ces choses ont bien fini par s’irritée.

Mon cœur se noie dans de l’encre,

Ma plume perd de son charme,

Il est peut être temps de jeté l’ancre,

Avant que s’éteigne ma flamme,

Un sentiment qui me hante,

Une envie qui me tente,

Une voix douce qui me hante,

Un désir qui me tente,

Etre à tes cotés,

Un envie qui me hante c’est mes mains sur tes cotés,

J’avais la clé d’un cœur mais je m’étais trompé de porte,

Juste un cœur a volé avant que le vent ne l’emporte,

Je garde les pieds sur Terre alors pourquoi décroché la lune,

Des femmes j’en ai vue mais une flamme je n’en ai qu’une,

Elle est toujours avec moi alors pourquoi quitté ma plume,

Je continue ma route sans me soucier de la brume,

Je cache mes sentiments derrière ces quelques lettres,

Je cache un tel mal être derrière un masque de bien être,

J’ai regardé le monde et une larme a coulé,

Je cache mon talent et je regarde le temps passé.

Oui, je n’ai que des mots,

Oui, j’ai beaucoup de défauts,

Oui, différent je ne suis pas,

Oui, comme tout le monde j’ai fais des faux pas,

Oui, je n’ai pas un certain vécu,

Oui, j’ai moins souvent gagné que perdu,

Et alors ?

Oui, j’ai un peu mangé dans ma dignité,

Oui, il m’est arrivé de dériver et de fermer  mon cœur à la vérité,

Oui, j’ai des regrets,

Oui, j’ai des remords,

Oui, j’ai des secrets,

Et  je le redis encore,

Et alors ?

Je sais qu’un autre partage ton cœur,

Te remplissant de bonheur,

Mais sache cette vérité,

Même si je ne t’ai jamais mérité,

A quoi beau t’évité,

Le fait de te voir, pour moi est une nécessité,

Se taire ou parler, étrange perplexité,

Mais en toute sincérité,

Si t’aimé a été mon erreur,

Que me restera-t-il à la fin de mes pleures ?

Une période authentique,

Des moments uniques,

Pour certains pathétiques,

Pour d’autres magnifique,

Une période longue et passagère,

Des moments grands mais éphémères,

Une période ordinaire,

Des moments extraordinaires,

Où tu vivais déjà dans ton monde imaginaire,

Une période agité mais doux comme du velours,

Des indénombrables moments remplis d’amours,

Où tu découvre la vie,

Loisirs et envies,

Période et moments qui te serviront pour le futur,

Qui te permettra de te forgé une vrai nature,

Pour moi cette période a été d’une excellence,

Et je suis triste pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’avoir une belle enfance.

Tu rêve d’amour,

Tu rêve glamour,

Tu rêve de femmes

Et de fantasmes,

Tu rêve la nuit,

Tu rêve le jour

Pour trompé l’ennui,

Tu rêve tous les jours,

Tu rêve au passé,

Tu rêve au présent,

A ces moments passés

A imaginé le présent,

Tu rêve la nuit,

Tu rêve le jour

Pour trompé l’ennui,

Tu rêve tous les jours,

Puis tu rêve de demain, d’aujourd’hui et de ce que tu vas faire,

Et en fin de compte tu te rencontre que rêver c’est tout ce que tu sais faire.

La nuit encor plus sombre que l’obscurité,

Les veines ouvertes,

Dans une grande stupidité,

Il court à sa perte,

La nuit encor plus sombre que l’obscurité,

Il semble discuté avec une ombre,

Dans une grande stupidité,

Il creuse sa propre tombe,

La nuit encor plus sombre que l’obscurité,

Dans une grande stupidité,

Il troque son âme pour un peu d’or,

Lasse de rester dans le décor,

Un allé sans retour pour l’enfer,

Coté hublot juste pour voir le paradis.

Cette fleur, les abeilles l’on convoitée,

Son pollen si rare et jamais égalé,

 Les abeilles la butinent le soir et la butinent le jour,

Certaines abeilles la butinent juste pour un soir et d’autre pour toujours,

Cette fleur donne de son pollen et ne garde rien,

Elle est comme une eau où s’abreuve les vaut rien,

Comme une terre fertile devenu aride,

Comme une pièce remplie d’eau qui a chaque ouverture se vide,

Cette fleur n’as pas peur de se faire dépassé,

Elle sait bien que dans le jardin c’est elle la plus visité,

Si j’étais une abeille je l’aurai bien butiné,

                                                                                   Mais passé après d’autre ne me laisse guère l’envie d’y goûter.

Il y a des allé sans retour,

Des routes sans fin,

Donner sans attendre un retour,

En tant qu’humain on ne peut satisfaire sa faim.

Je suis un simple personnage,

Une simple personne,

Et comme tous les autres au fil du temps je prends de l’âge

Tristement malgré ma personne.

Voici ma lettre de départ,

C’est un adieu pas un au revoir,

La vie me chasse sans rémission,

Voici ma lettre de démission,

Cependant j’hésite,

Mais je me suis promis d’aller au bout,

Quand j’aurais la corde au cou.

C’est le jour des amoureux bienheureux de s’embrassé,

Mais c’est aussi le jour des malheureux car chez eux l’amour ne faisait que passer,

C’est un jour spécial pour ceux qui  croient encor un peu,

Que vidé leur verre de rancœur et d’amertume les permettra de s’aimé encor un peu,

C’est le jour des accolades et des baisers à la chaine,

Où l’on se donne plus corps qu’âme devant le monde parfois sans gêne,

Et puis parfois jour de révélation,

Où l’on trouve son ou sa bien aimé en plein adultère,

Et pour d’autre jour de fornication,

Que voulez-vous de jour en jour certains se perdent.