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Mon corps de douleur prie, et maudit ;
Ce Ciel dédain, qui condamne et benni;
Mon être en chagrin, te hais, te chéris ;
Sutures mes plaies, mais jamais ne guéris;
Désert en mon coeur, graine ne fleurit,
Clos mon jardin et nul goutte de pluie.
Amitié éphémère !!! Bras amoindri ;
Souffrance en ma chair de l'Amour qui périt.
Jabbar
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Publications sur Toute La Poésie
Douleur...
28 janvier 2021 - 07:58
Éclairé...
17 décembre 2020 - 12:11
D'une lueur maîtresse ;
La brume parfumée ;
Les senteurs diverses;
Les effluves passionnées ;
En cette nuit pécheresse ;
En doux voile d'été ;
Où mon être en détresse,
De désir petillait ;
La passion, l'allégresses;
En tes yeux voie lactée.
Où ton corps de déesse ;
Fit mon coeur prisonnié ;
J'ai perçu la caresse
D'un regard étoilé,
La charnelle promesse
De l'Amour, d'un baiser.
La brume parfumée ;
Les senteurs diverses;
Les effluves passionnées ;
En cette nuit pécheresse ;
En doux voile d'été ;
Où mon être en détresse,
De désir petillait ;
La passion, l'allégresses;
En tes yeux voie lactée.
Où ton corps de déesse ;
Fit mon coeur prisonnié ;
J'ai perçu la caresse
D'un regard étoilé,
La charnelle promesse
De l'Amour, d'un baiser.
Harmonie...
15 décembre 2020 - 09:43
A tes lèvres au matin ;
Une douce symphonie ;
Quand ta bouche de satin ;
Me brûle puis me fuit ;
Sans dorures ni parfums ;
sublimant mes envies.
Je revis de ton sein ;
Ô ma douce mélodie ;
Je m'en vais mais reviens ;
Par les vents, de mes nuits ;
Quand le sort, mon destin ;
D'une étreinte me suit ;
Me sourit d'un refrain ;
D'une tendre harmonie.
Une douce symphonie ;
Quand ta bouche de satin ;
Me brûle puis me fuit ;
Sans dorures ni parfums ;
sublimant mes envies.
Je revis de ton sein ;
Ô ma douce mélodie ;
Je m'en vais mais reviens ;
Par les vents, de mes nuits ;
Quand le sort, mon destin ;
D'une étreinte me suit ;
Me sourit d'un refrain ;
D'une tendre harmonie.
Plume assassine...
15 novembre 2020 - 10:55
La tête aux nuages,
Le corps pris en cage.
De mon être en naufrage,
J'ai le coeur au partage.
Ô ! destin, Ô ! divin,
Des hauts cieux et des cimes.
Ta lumière m'illumine,
En mon gouffre et abime.
Quand la haine,se dessine,
Liberté ! Qui nous brime.
Ô Amour éternel !
Leurs paroles incriminent,
Ils transpercent et ils saignent
D'une lame bien fine.
Ils salissent et ils peignent,
D'une plume assassine.
Le corps pris en cage.
De mon être en naufrage,
J'ai le coeur au partage.
Ô ! destin, Ô ! divin,
Des hauts cieux et des cimes.
Ta lumière m'illumine,
En mon gouffre et abime.
Quand la haine,se dessine,
Liberté ! Qui nous brime.
Ô Amour éternel !
Leurs paroles incriminent,
Ils transpercent et ils saignent
D'une lame bien fine.
Ils salissent et ils peignent,
D'une plume assassine.
Lina
19 juillet 2020 - 07:36
De ton corps prisonnière ;
Ton regard est lumière ;
Une bouteille à la mer,
Quand nos âmes désespèrent,
Que tes yeux nous éclairent,
Malgré l'ombre, ton enfer,
Ton sourire est prières,
Quand le sang est amer,
Ta tendresse illumine,
Ces êtres de pierre,
Tu es souffle à ta mère,
Tu es l'air à la Terre.
Ton regard est lumière ;
Une bouteille à la mer,
Quand nos âmes désespèrent,
Que tes yeux nous éclairent,
Malgré l'ombre, ton enfer,
Ton sourire est prières,
Quand le sang est amer,
Ta tendresse illumine,
Ces êtres de pierre,
Tu es souffle à ta mère,
Tu es l'air à la Terre.
