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Léandre

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Messages que j'ai posté

Dans la publication : Et s'il suffisait juste

14 mai 2021 - 03:23

Prendre un enfant par la main
Pour l'emmener vers demain
Pour lui donner la confiance en son pas
Prendre un enfant pour un roi
Prendre un enfant dans ses bras
Et pour la première fois
Sécher ses larmes en étouffant de joie
Prendre un enfant dans ses bras
Prendre un enfant par le cœur
Pour soulager ses malheurs
Tout doucement, sans parler, sans pudeur
Prendre un enfant sur son cœur
Prendre un enfant dans ses bras
Mais pour la première fois
Verser des larmes en étouffant sa joie
Prendre un enfant contre soi
Prendre un enfant par la main
Et lui chanter des refrains
Pour qu'il s'endorme à la tombée du jour
Prendre un enfant par l'amour
Prendre un enfant comme il vient
Et consoler ses chagrins
Vivre sa vie des années, puis soudain
Prendre un enfant par la main
En regardant tout au bout du chemin
Prendre un enfant pour le sien

Yves Duteil

Je pense souvent en écoutant ces paroles universelles que l'on pourrait remplacer le mot enfant par le mot Femme ou Homme.
C'est ainsi la meilleure façon de se rendre compte que l'enfance, déterminante à jamais dans notre vie ne devrait jamais souffrir d'aucunes blessures, tout comme d'ailleurs l'âge adulte...
Éviter les maux enfantins pour trouver une sérénité adulte.
Voilà pour moi une extrapolation que je fais de votre poème effectivement naïf dans le sens le plus littéraire qu'il soit.

Léandre

Dans la publication : Rose rouge et rose blanche

08 mars 2021 - 12:37

"Souvenir de ce bonheur..."
C'est le mot Souvenir qui me "chagrine".
Sinon on pourrait croire à un bonheur parfait ?
Ça change pas grand chose ceci dit à la douceur qui se dégage de ces quelques lignes épurées.
J'aime.

Dans la publication : L'ascension de la licence

04 mars 2021 - 09:25

Et après la licence, le Master !
C'est le cas pour la mienne.
Bon courage aux deux.

Dans la publication : « Regarde ! »

04 mars 2021 - 09:14

Je vois, plutôt je ressens dans ces lignes un côté mystique, telle une expérience où nous pouvons ne pas être meilleurs qu'avant et nous pouvons ne pas croire plus qu'avant, mais où tout est transformé après .

Dans la publication : Gainsbourg

02 mars 2021 - 07:20

La provocation n'est pas sujet de période mais de personne.
Tout le monde sait que notre poète était un grand timide et qui en plus ne s'aimait pas.
La provocation remède pour s'affirmer alliée au talent et à une extrême sensibilité ont "fabriqué" cet artiste.
En conclusion Gainsbourg aujourd'hui c'est bruler 100e et non pas 500 francs, c'est draguer Beyoncé et non pas Whitney Houston mais nous n'aurions jamais connu "Lemon Incest".
Gainsbourg était beaucoup de choses à la fois mais pas con....