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d?gun

Inscrit(e) : 24 oct. 2003
Hors-ligne Dernière activité : mai 14 2012 06:19

Messages que j'ai posté

Dans la publication : A mes détracteurs

10 mai 2012 - 09:29

Je semble avoir déplu,
J'aimerais savoir en quoi;
Ou l'on me monte aux nues,
Ou bien l'on me bat froid.

Forcer vos accolades,
Je ne le désire point;
Marcher à la tirade,
Je le veux encore moins.

Du nom de Cyraknow,
N'ai peur de batailler
Contre les fats, les sots,
Qui m'auraient dans le nez.

Aussi méfiez-vous,
Qui me portez ombrage;
pour river votre clou,
Je cesserai d'être sage.

Conciliante je suis,
Raisonnable je reste,
Mais qui cherche des ennuis
Trouvera ma plume leste!


Je semble avoir déplu,
J'aimerais savoir en quoi;
Ou l'on me monte aux nues,
Ou bien l'on me bat froid.

Forcer vos accolades,
Je ne le désire point;
Marcher à la tirade,
Je le veux encore moins.

Du nom de Cyraknow,
N'ai peur de batailler
Contre les fats, les sots,
Qui m'auraient dans le nez.

Aussi méfiez-vous,
Qui me portez ombrage;
pour river votre clou,
Je cesserai d'être sage.

Conciliante je suis,
Raisonnable je reste,
Mais qui cherche des ennuis
Trouvera ma plume leste!



je suis ce forum depuis très peu de temps, donc je je ne suis au courant du qui, qu'est'ce que, pourquoi ou quand, je peux seulement dire que j'aime ce que j'ai pu lire des poèmes de Cyraknow et que son approche me semble plus amicale qu'agressive.

Je n'apporte rien au débat mais ce dernier apporte-t-il quelque chose ?

Dans la publication : Chats

09 mai 2012 - 07:23

Merci de ta lecture, d?gun.
A quoi correspond le ? de ton nom?


C'est une erreur lors de l'inscription sur le site, je voulais "dégun" et le "é" s'est transformé en "?" sur la page finale. Je l'ai laissé comme tel.

Dans la publication : Chats

08 mai 2012 - 11:40

"Les pattes repliées sous le soyeux corps roux"... et là, je sais que je vais aimer le reste du poème. C'est ce qu'il s'est produit. Une réussite !

Dans la publication : Le bal bazard

03 mai 2012 - 09:01

Je suis d'accord. Cette image est d'une force énorme,! De tout Brel, je crois que c'est l'un de mes vers favoris.
Mais les deux qui me parlent vraiment le plus, ce sont : "la chaleur se vertèbre, // il fleuve des ivresses"


Il essaie souvent de frapper un grand coup dans le dernier couplet de ses chansons, il faut que ça monte brutalement ! Alors, j'ai l'impression que, pour lui, la forme s'effondre au profit de la seule force. Son talent (ou plutôt son travail), c'est d'y parvenir. Quand je l'écoute, j'y trouve, comme chez très peu, un sentiment de fulgurance.désarmante, et c'est presque aussi touchant qu'à la première écoute.

Désolé de me servir des commentaires réservés au texte de Dyonisos pour poster mes opinions sur Brel (qui peut autant dégouter que fédérer), mais comme je l'aime beaucoup, je prends cette liberté... avec des pincettes !.

Dans la publication : Suite à perte

03 mai 2012 - 08:29

Merci de ton commentaire,
Je me sens davantage motivé à écrire régulièrement (comme je pouvais le faire il y a longtemps) depuis que je fréquente ce forum.

Le métro... il n'y a pas, à priori, de thème qui me déplaise du moment que les mots vont bien ensemble.
J'aime ta façon de les arranger (on sent la pratique), et, par conséquent, je me sens fier si ce texte t'a plu.