Dans vos soupirs sur lesquels j'ai nourri mon coeur,
Pendant le début de ma jeunesse errante,
Lorsque j'étais en partie un autre que moi-même,
J'espérais rencontrer de la pitié, dans votre pardon,
Dans ces vaines approches en lesquelles j’aurai parlé et pleuré,
Entre l’espoir inutile, en cette mélancolie vaine,
Et ceux-là qui avaient compris qu’ils étaient aveuglés en ces épreuves.
Et je verrais d’une manière lumineuse , ce que je suis devenu
Comme ce vieux conte que je suis, une sorte de monde de rêves.
Et d’apercevoir, dans le miroir du firmament,notre amour
Est la honte ! Ou le fruit de mes propres vanités,
Est le remords ! Ou celle de la connaissance la plus éclatante
Peut-être la façon dont on partage le plaisir du monde dans un rêve.
- hasia aime ceci