Je voyais ces larmes amères verser sur votre visage.
Avec cette tempête angoissée qui trouble vos soupirs
Quand votre regard se perd dans les profondeurs de la tristesse,
Je vous apercevais alors, toute seule perdue du monde.
Encore, que c’était vrai que votre sourire paraissait doux
Calmant ma soif ardente d’amour,
Qui me sauve de ces flammes amoureuses, qui me font souffrir,
Pendant que j’étais là à vous regarder dans votre voile.
Et que l’oeuvre enivrant de l’alcool c’était refroidis, je vous voyais,
À votre envol,vers des étoiles fatales
Et je me rappelle, encor, de vos lèvres sucrées, et de la douceur de votre peau.
J’avais enfin par ces clefs affectueuses, pris le chemin de votre amour
l'esprit me laissera votre coeur à vous suivre,
Et dans mes pensées profondes, cette marque indélébile de votre corps.
bernardo
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Je voyais ces larmes amères verser sur votre visage.
28 avril 2007 - 09:18
Ou les colombes scelleront notre amour, naîtra ce joli regard à tire d’aile,
27 avril 2007 - 09:55
Amour, vous qui tenez seules toutes mes pensés sous clef,
Qui ouvre la porte de mon coeur et les serres,
Qui d’un mêmes mains, qui me guéris d’amour et m’enserre,
Qui me faisait agonir d’un amour éternel, et revivre derechef :
Amour, tu distillais notre vie amoureuse, d’une passion sans grief,
Que vos soupirs et votre amour seront aussi solides que la pierre
Rien ne pourrait me guérir, de mes sentiments amoureux qui errent
Vous étiez sans doute avec moi amour, et amoureuse sous la nef
Ou les colombes scelleront notre amour, naîtra ce joli regard à tire d’aile,
À la fin encor pour m’envoler avec vous dans l’azur, et ne rien voir :
Du scintillement de votre chevelure, avec ces chaudes étincelles,
Et quand vos yeux inébranlables me firent percevoir.
L’amour vendra chèrement, les fidélités amoureuses qui sont belles,
Mais puisqu’il me fallait plusieurs fois mourir, pour te revoir.
Qui ouvre la porte de mon coeur et les serres,
Qui d’un mêmes mains, qui me guéris d’amour et m’enserre,
Qui me faisait agonir d’un amour éternel, et revivre derechef :
Amour, tu distillais notre vie amoureuse, d’une passion sans grief,
Que vos soupirs et votre amour seront aussi solides que la pierre
Rien ne pourrait me guérir, de mes sentiments amoureux qui errent
Vous étiez sans doute avec moi amour, et amoureuse sous la nef
Ou les colombes scelleront notre amour, naîtra ce joli regard à tire d’aile,
À la fin encor pour m’envoler avec vous dans l’azur, et ne rien voir :
Du scintillement de votre chevelure, avec ces chaudes étincelles,
Et quand vos yeux inébranlables me firent percevoir.
L’amour vendra chèrement, les fidélités amoureuses qui sont belles,
Mais puisqu’il me fallait plusieurs fois mourir, pour te revoir.
Amour, qui parcourait ce monde si ample,
26 avril 2007 - 06:27
Amour, qui parcourait ce monde si ample,
Je regardais votre gaité amoureuse errer en ce jardin :
J’admirais la clarté et la lumière ,de votre corps astre divin,
Triomphante de la clarté des étoiles, et vous en étiez le temple.
Et son corps était plein beauté, son visage en est l’exemple,
Vous ressembliez à cette aurore, au plus beau matin :
Et ton front amour est ce ciel d’azur s’ouvrant vers votre destin,
Votre regard humide est comme votre image que la nature contemple.
Je vous apercevais toute pensive et n’aimer rien que soi,
Emprisonner dans des fleurs amoureuses, qui triomphait de toi :
Tu regarderais naître notre amour , sous des pieds graciles et bien-heureuses.
Voir au printemps lumineux de notre amour, le rayon de vos yeux :
Voir encor votre corps à l’envie , brûler dans ses ardeurs amoureuses
Vous étiez mon amour l’embellie de la terre, et vous serriez les cieux.
Je regardais votre gaité amoureuse errer en ce jardin :
J’admirais la clarté et la lumière ,de votre corps astre divin,
Triomphante de la clarté des étoiles, et vous en étiez le temple.
Et son corps était plein beauté, son visage en est l’exemple,
Vous ressembliez à cette aurore, au plus beau matin :
Et ton front amour est ce ciel d’azur s’ouvrant vers votre destin,
Votre regard humide est comme votre image que la nature contemple.
Je vous apercevais toute pensive et n’aimer rien que soi,
Emprisonner dans des fleurs amoureuses, qui triomphait de toi :
Tu regarderais naître notre amour , sous des pieds graciles et bien-heureuses.
Voir au printemps lumineux de notre amour, le rayon de vos yeux :
Voir encor votre corps à l’envie , brûler dans ses ardeurs amoureuses
Vous étiez mon amour l’embellie de la terre, et vous serriez les cieux.
Cette beauté céleste si inimaginable .
25 avril 2007 - 05:26
Si vous pouviez simplement contempler
Cette beauté céleste , si inimaginable
Quand je parlerai, en tant qu’amoureux de votre regard,
Quand je parlerais de votre corps si doux, amour immensurable
Qui inonderait mon coeur : peut-être de sa puissance charnelle
Maintenu isolée de vous, pour vous économiser.
Bénies sont votre âme et celle de vos soupirs pour vous
Clartés miraculeuses, de sorte que je remercie la vie
Mais c’était autrement sans aucune valeur !
Hélas, pourquoi amour vous me faites languir.
Accordez-moi vos lèvres, qui ne s'assouvissent pas ?
Considérez aussi que cet amour-là ! puisse m’épuiser ?
Et pourquoi vous m’accordez votre corps immédiatement
De cela maintenant j’égarerais mon esprit dans vos désirs ?
Cette beauté céleste , si inimaginable
Quand je parlerai, en tant qu’amoureux de votre regard,
Quand je parlerais de votre corps si doux, amour immensurable
Qui inonderait mon coeur : peut-être de sa puissance charnelle
Maintenu isolée de vous, pour vous économiser.
Bénies sont votre âme et celle de vos soupirs pour vous
Clartés miraculeuses, de sorte que je remercie la vie
Mais c’était autrement sans aucune valeur !
Hélas, pourquoi amour vous me faites languir.
Accordez-moi vos lèvres, qui ne s'assouvissent pas ?
Considérez aussi que cet amour-là ! puisse m’épuiser ?
Et pourquoi vous m’accordez votre corps immédiatement
De cela maintenant j’égarerais mon esprit dans vos désirs ?
Ou les abeilles , butinent son amour sur les fleurs
24 avril 2007 - 10:34
Elle plairait. Mes amis, vos regards en sont témoins.
Et ensuite une plus mignonne eussent voulu plus de soins ;
Fine et sauvage,où un rien ne la décourage,
Ou un rien ne sait l'animer. Singulière et volage,
Elle s’en va, arpentant d’un pas flatteur,
Ou les abeilles butinent son amour sur les fleurs
Les zéphyrs errants, doux rivaux des abeilles,
Ou un baiser la ravit sur ses lèvres vermeilles.
Une source scintillante, un bosquet qui fleurit,
Tout amuse son regard ; Elle se lamente, elle rie,
Tantôt à pas distraits, attristés sous cette aurore où il vente ,
Elle errerait avec une ondulation pure et languissante.
Tantôt elle serait allée, d'un pas délicat et sûr
Poursuivant un rêve brillant d'or et d'azur,
Ou l'agile hirondelle, se pose dans son nid timide
Comme l’oiseau dans l’azur d’un vol si rapide.
Par moments, grimpant sur la mousse du rocher,
Dans une crinière dense, elle ira se cacher ;
Et sans froissement observer sur la caverne pendante
Ce, que dira le dieu à la Déesse imprudente.
Qui dans cette tanière sépulcrale ou des amis
Refuse de la guider, et pourtant l'aurons suivi.
Constamment même, on entendait le cris de ses caprices,
Elle ose contempler l’abîme des précipices
Ou sur la roche rugit le fleuve effréné,
De l’abrupt sommet tout à coup déchaîné.
Elle aimerait aussi chanter à la vendange, nouvelle,
Suivre les vendangeurs et rire à merveille,
L'Automne sur son front vermeil, ceint d’amour nouveau,
Au coeur des vendangeurs errant parmi les coteaux ;
Et ensuite une plus mignonne eussent voulu plus de soins ;
Fine et sauvage,où un rien ne la décourage,
Ou un rien ne sait l'animer. Singulière et volage,
Elle s’en va, arpentant d’un pas flatteur,
Ou les abeilles butinent son amour sur les fleurs
Les zéphyrs errants, doux rivaux des abeilles,
Ou un baiser la ravit sur ses lèvres vermeilles.
Une source scintillante, un bosquet qui fleurit,
Tout amuse son regard ; Elle se lamente, elle rie,
Tantôt à pas distraits, attristés sous cette aurore où il vente ,
Elle errerait avec une ondulation pure et languissante.
Tantôt elle serait allée, d'un pas délicat et sûr
Poursuivant un rêve brillant d'or et d'azur,
Ou l'agile hirondelle, se pose dans son nid timide
Comme l’oiseau dans l’azur d’un vol si rapide.
Par moments, grimpant sur la mousse du rocher,
Dans une crinière dense, elle ira se cacher ;
Et sans froissement observer sur la caverne pendante
Ce, que dira le dieu à la Déesse imprudente.
Qui dans cette tanière sépulcrale ou des amis
Refuse de la guider, et pourtant l'aurons suivi.
Constamment même, on entendait le cris de ses caprices,
Elle ose contempler l’abîme des précipices
Ou sur la roche rugit le fleuve effréné,
De l’abrupt sommet tout à coup déchaîné.
Elle aimerait aussi chanter à la vendange, nouvelle,
Suivre les vendangeurs et rire à merveille,
L'Automne sur son front vermeil, ceint d’amour nouveau,
Au coeur des vendangeurs errant parmi les coteaux ;