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michaud

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Hors-ligne Dernière activité : juil. 25 2010 01:28

Messages que j'ai posté

Dans la publication : À l'intérieur des ventres

07 avril 2009 - 06:37

Vous me manquerez belle dame, vous étiez un pilier de Toute La Poésie.

Amitiés,
Anne

Dans la publication : POUR LE MEILLEUR D'UN MONDE - BARACK OBAMA

09 novembre 2008 - 09:20

Les Etats-Unis d'Amérique nous donne pour une fois une belle leçon d'Humanité. Vivement qu'elle s'apprenne aussi en France :)

C'est parce que ça rime avec "ferveur", la ligne du dessus, c'est de la poésie...

Dans la publication : L'AUTRE SOLEIL

25 février 2008 - 05:43

‘’C'est voir le soleil qu'ils ne voyaient pas dehors’’

Ce vers m’a rappelé la chanson d’Enrico Macias :’’ les gens du nord’’ :

Les gens du nord ont dans les yeux
Le bleu qui manque à leur décor.
Les gens du nord ont dans le cœur
Le soleil qu’ils n’ont pas dehors.

C'est vrai que le soleil, quand il se lève, doit briller sur tout le monde .

je partage tes idées.

Amicalement Nacer.


Bibi et Nacer, merci pour votre sensibilité !

Dans la publication : L'AUTRE SOLEIL

25 février 2008 - 04:55

Pour le moins répétitif, et c'est bien dommage !
9 lumières, et 11 soleils, entre autres...

Eclairant et éblouissant, certes, mais un peu d'ombre ne nuirait pas B)
Bien à toi
Paname




C'est comme pour Mozart, on disait trop de notes !!! Et pourtant rien ne manquait...

Dans la publication : LES REFUGIERS DE LA FAIM

11 juillet 2007 - 10:18

LES REFUGIERS DE LA FAIM

Les arbres sont en fleurs
Tout le monde espère goûter le bonheur
A la prochaine saison
Les arbres porteront des fruits gorgés de douceur
La beauté du temps est dans ses saisons
Ce sont les fleurs qui se transforment et donnent le ton
Et ce sont les fruits de l'arbre qui font le bonheur
On apprend que depuis bien des saisons
Des fruits les arbres n'en portent plus dans cette terre
Et tous les habitants cherchent la fuite
Comme les oiseaux au changement de saisons
Leur pays quittent
Mais sans crainte ni danger
Reviennent dans leur foyer
Hélas ! Les habitants eux prennent la mer
Sur des rafiaux qui s'abîment en mer
Et enfants et parents nul ne sait nager
Mais que faire quand on n'a pas à manger,
On prend la mer pour passer de l'autre côté
Voilà-t-il qu'au beau milieu avant d'y arriver
Aux requins ils se donnent à manger !
Et jamais plus dans leur pays ils ne reviennent
Aucun peuple d'un destin ne peut rêver
Si dans leur pays il n'y a point de responsables, point d'autorité,
Si le respect qui est digne de l'homme
Dans ce pays ne prend pas forme
Il n'y aura ni anges, ni dieux
Pour leur éviter le malheur et le désaveu.
Ce n'est pas le pays convoité qui s'effondra dans la peine.
Oh ! Mon pays, ta douleur est infinie
Il y aura sans doute un jour
Un beau pays où l'on parle d'amour
Je veux parler d'Haïti, pays
Qui jadis était une perle
C'était, comme on le chantait, la plus belle,
Ô, Haïti ! Toi qui étais la femme la plus belle
Ô toi, qui étais la perle des Antilles
Depuis les royaumes de Castille
Jusqu'en cinquante-sept
Et c'était là que s'arrêtait la fête...

Michaud MICHEL
25.05.2007