Aller au contenu

LoneWolf

Inscrit(e) : 06 mai 2004
Hors-ligne Dernière activité : sept. 02 2008 10:43

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Zombiland 2

22 avril 2008 - 01:30

Intérieur,
Nuit,
Ailleurs, certainement le soleil luit
Sans bruit,


Ailleurs,
Promesse d'un voyage


Connaissant tout, des cœurs
Des désirs, des chimères
Il trompe,
sans couronne,
notre ennemi


Intérieur,
Nuit,


Ailleurs est un menteur,

Il dessine, une amplitude
Tout est beau
Demain tout sera chaud


Nous interdisant en douceur,
L'accès,
à nos portes,
secrètes,


Et puis, comme nos yeux
Ne veulent recevoir,
La tâche lui est facile
D'aveugler nos miroirs,
Déformant nos rivages


Il le sait bien, lui,
Le soleil


Que le plus grand voyage,
Se poursuit de l'intérieur
Qu'il faut de la sueur,

S'éloigner, pour se rapprocher
De quoi ?


Il faut partir,
Pour pouvoir s'affranchir
De soi,


Avoir fait le tour
D'autres illusions
Que nous confondions
Avec nos lassitudes


Nous hésitons encore
Sur le pas de la porte
Quémandant une clé,


A ne pas croire que l'on puisse s'aimer,
assez
Pour se contempler de ce que l'on naît


Croire n'être pas entier,
sans voyager


La clé endormit au fond d'une poche
Attendait patiemment
Que l'on s'approche,


Alors, nous entrons,
Les pas en velours
Respirer notre ailleurs,


Ici,

Maintenant,



Salut toi, je prends tjrs le mm plaisir à te lire, mm après qqs temps d'absence.

Bises

Amicalement,

LoneWolf

Dans la publication : MOI POÈTE

08 avril 2008 - 05:00

Je trouve pas nombriliste du tout. Bien au contraire, la recherche du beau dans la laideur, le chant de la vie, de l'amour, de la solitude, de la guerre, le sentiment de solitude extrême et paradoxal au milieu de la foule, tout cela a qq chose d'universel, de propre au sentiment esthétique d'une manière générale. J'ai bcp aimé.

Dans la publication : MERCI A LA NON-VIOLENECE

08 avril 2008 - 09:29

Merci à toi, poète, ami, pour ce beau message.

Amicelement,

Lonewolf

Dans la publication : il etait la l'enfant

04 avril 2008 - 02:15

Merci Msieur pr ce poème fort joli et fort triste

Dans la publication : L'aube

04 avril 2008 - 09:49

Et le loup solitaire, la bouche pâteuse encore, supplie le Temps de suspendre son cours..accorde moi qqs secondes de sommeil en plus, ô toi, grand tyran de l'humanité post-2ème révolution industrielle, tu sais que celles-la sont de loin les plus douces...

A ce moment unique, que tu décris avec bcp de talent, se jouent pour moi un drame, une tragédie quotidienne

Cdt,

Lwf