Aller au contenu

ImNothing

Inscrit(e) : 28 déc. 2004
Hors-ligne Dernière activité : mars 15 2023 09:38

Publications sur Toute La Poésie

Vers l'inconnu.

21 janvier 2013 - 08:04

Allant au gré de tes envies vers l'inconnu,
A tes cotés sur les chemins bordés de nuit,
Au travers des maisons allumées de leurs vies,
Accrochant mon oeil à tes rires dissolus.  

 

Hélant nos souvenirs les plus éperdus,
Happé par nos histoires marquées de folie
Envers de nos désirs à jamais insoumis,
Enivrant mon coeur de ce moment impromptu.

 

Et nous courûmes au travers du cimetière,
Parfum d'orange et magie sans manières,
Dans l'église sur tes pas je m'engouffrais.

 

Et tu riais à m'en réchauffer jusqu'au coeur,
Certain qu'avec toi chaque jour j'apprécierai
Dans tes bras pouvoir y retrouver le bonheur.

 

 

Ça faisait genre 10 000 ans que je n'étais plus venu ici, partager.

De l'art d'excuser sa spontanéité.

25 août 2009 - 12:46

Symphonie délicate que sont mes erreurs
En ton cœur retroussé,
Ajuste la note à la hauteur du mépris
De ta main sur ma trogne.

Un rien de silence et la nuit sur moi sombre,
L'herbe noire déjà humide m'allonge de baisers
Sordide comme l'attente de l'envie retrouvée,
Épris de l'inconnu et mon corps décombres.

Je ne trouve plus le plaisir de la chair que
Dans la putréfaction de nos corps enlacé,
Lassé du sort de nos carcasses mal aimé et
De nos yeux vide d'où flambent le désir belliqueux.

La lune en sourire se rit de moi et mes vices,
A contempler l'airain de ses épaules, j'oublie
Tant la nuit que le jour qu'un rien m'anéantit
La passion dans un soupir ,le temps en abysse.

Ma peau en cendre sous ses baisers assoiffé
Je m'effeuille dans des délires déliés de sens,
Consumer l'idée de pouvoir l'aimer m'encense,
Appétit à pendre sur l'incertain du chevet.

Quelques accords sur le désaccord des remords
Du au plaisir ardent,
Les fausses notes sans joies me font finalement avouer
Qu'heureux je ne suis pas.

POURQUOI?

24 août 2009 - 03:11

Pourquoi je n'arrive plus à publier de nouveaux textes?
Et cela dans n'importe quel salons???

---


Mon cercueil, ce lit fait de mots mis à l'envers, sombre les songes et ronge les ombres.

L'air de rien.

22 août 2009 - 10:56

J'étais le vieux Paris,
A cent à l'heure sur ma vieille bicyclette,
Je sentais battre son cœur.

---

Cultivons les chaines
Des amours sans sursis,
Racontons les envies
des âmes qui vont bohèmes,
Sans égards à tue tête
Souffrons de chantonner la vie.

---

Je me sens comme dévoré par mille frissons
Je m'échappe de ma bouche sans rire
Plus je lutte plus je m'aime encore
Je ne me retourne jamais
Plus je recule
Je suis
Plus

---

Les mots sont superflus quand j'écris,
Une idée imberbe s'éprend d'un mot indécis
Et déjà les verres coulent en farandoles,
Les mots sont une peinture que je vie.

---

Sans Elles pas de Moi,
Sans Moi pas d'Elles pour Vous
Et Vous et vos Elles et vos Eux,
Tel Moi et mes Elles,
Est-ce Nous?

---

Quand je m'évade en ton coeur,
Etoiles et merveilles...
Je longe l'amer, ricochet en accroche coeur,
Je songe d'hier, accroché, j'en rigole encore,

Diantre!

20 août 2009 - 08:30

Diantre! Un coeur en mon corps, ce creux sans secrets se croit cru par l'Amour.

Sempiternelle, s'insinue le désir sans raisons dans l'espoir d'un jour sans miasmes.

Sans souffle, sans cesse ces situations sinueuses sifflent, cinglent, suintent, saignent sans ciller ces sentiments surfait.