La vivre donc sans jamais pouvoir la connaître... des traces, des indices (et des beaux) nous l'apprenant après (que nous l'avons vécue) parce que pendant nous ne pourrions que la vivre (au mieux). Restent alors des traces.
Et puis, et puis.... "La chair et la poussière se parlent la nuit. "
Mon silence pour commentaire....
Merci Felice, J'ai entendu ta plumer crisser très fort sur le papier....
Henri.
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