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Philippe Desportes




Poèmes de cet auteur disponibles à la lecture :

Amour, tu es aveugle et d'esprit et de vue, Amour en même instant m'aiguillonne et m'arrête, A pas lents et tardifs tout seul je me promène, Arrête un peu, mon Coeur, où vas-tu si courant ?, Autour des corps, qu'une mort avancée, Blessé d'une plaie inhumaine, C'était un jour d'été de rayons éclairci, Celui qui n'a point vu le printemps gracieux, Cependant que l'honnêteté, Ceux qui liront ces vers qu'en pleurant j'ay chantez, Chaste soeur d'Apollon dont je suis éclairé, Contre une nuit trop claire, D'une fontaine, De mes ans la fleur se déteint, Douce Liberté désirée, Durant les grand's chaleurs, j'ai vu cent mille fois, Elle pleurait, toute pâle de crainte, Enfin, l'Amour cruel à tel point m'a rangé, Enfin les dieux bénins ont exaucé mes cris, Epouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis, Hélas ! si tu prens garde aux erreurs que j'ay faites, Icare est chu ici, le jeune audacieux, J'ai dit à mon désir : pense à te bien guider, J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune, Je crois que tout mon lit de chardons est semé, Je l'aimais par dessein la connaissant volage, Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse, Je ressemble en aimant au valeureux Persée, L'âpre fureur de mon mal véhément, Las ! que me sert de voir ces belles plaines, Le tens leger s'enfuit sans m'en apercevoir, Ma nef passe au destroit d'une mer courroucée, Marchands, qui recherchez tout le rivage more, Misérables travaux, vagabonde pensée, Nuict, mere des soucis, cruelle aux affligez, Pourquoi si follement croyez-vous à un verre, Qu'on m'arrache le coeur, qu'on me fasse endurer, Quand j'approche de vous, et que je prends l'audace, Quand je pouvais me plaindre en l'amoureux tourment, Quand nous aurons passé l'Infernale rivière, Quand quelquefois je pense à ma première vie, Que servirait nier chose si reconnue, Rosette, pour un peu d'absence, Si la foi plus certaine en une âme non feinte, Si la loi des amours saintement nous assemble, Si la vierge Erigone, Andromède, et Cythère, Solitaire et pensif, dans un bois écarté, Sommeil, paisible fils de la Nuit solitaire, Sonnet spirituel (XVIII), Sur les abysmes creux des fondements poser, Un ivoire vivant, une neige animée, Vos yeux, belle Diane, ont autant de puissance, Vous n'aimez rien que vous, de vous-même maîtresse, Éloignant vos beautés, je vous laisse en ma place, Ô bien heureux qui peut passer sa vie, Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché, Ô Songe heureux et doux ! où fuis-tu si soudain


DESPORTES
Naissance : 1546
Deces: 1606
Pays: FRANCE


Biographie de PHILIPPE DESPORTES :

Philippe Desportes, né à Chartres en 1546 et mort à l'abbaye Notre-Dame de Bonport le 5 octobre 1606, est un poète baroque français.



Bibliographie de PHILIPPE DESPORTES :





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