lacape' Blog

Tu t'habillais comme un garçon...


Entre les herbes folles, dans un ventre ou dans les airs
le premier cri
qu'il sera doux ce chemin de ronde en bandoulière, du crépuscule à l'aube
au dessus des rochers blancs

Du fond des heures, le/la retenir, dans une bulle où il/elle respire
entre toi et lui/elle, combien de jours dans l'eau
u...

Seul, un vendredi... A deux pas de l'anneau d'ortant pis si l'hiver semble loin, sur la placegrasse et captive, entourée de chaînes, impatiente à se rendrePourquoi caches tu ton visage, si précieux, au passé qui t'obsède Des têtes dans un lit de pièrre, pendues sur les poitrinesaux fréquentations les plus avancéesTu en es le pouls, le ton,...

Juste...

Aucun enseignement, aucun discours
Juste le silence pour découvrir le repos et lacher prise
du religieux, du rituel, dressant les murs, bien avant que l'on ne sache
De là où je crie, j'y puiserais de quoi vivre, à nouveau...


lcp 05/04/2009

Nyhavn...Adulée par la presse, tu investis la place et segmente la sociétéau courant nationaliste Pesant sur les débats, les immeubles s'amusent à se moquer du tempsun goût de ne rien faire, pour une heure, quand il ne pleut pasSi tu savais, indolente en boucles,  comme j'aime ton sourire et tes cigarettes mauves, dont je connais le styleMais il y...

Devant H et M...

Evacuer dans l'itinéraire du jour, le propos pénitentiaire
juste un plan resserré sur ton visage, un entre deux indéfinissable
aux lignes de forces chronologiques, pour des regards gauchis
décrivant le dessin

Un peu perdue, dédouanée, comme un objet en plusieurs parties
qui se donne à voir, dans l'humeur
Pacte autobiographi...

Ne dites rien...Vous étiez un foulard, un tourment sur le brasd'un fauteuil, épuisant ses dernières heures, du flanc jusqu'à la gardeA force d'en sourire, deviez vous quitter la pièce et tout ces motsréduisant l'insolence, à peine éclose, dans la ville en sommeilC'était peut être à Rome, au fond d'une impasse sans projecteurvous tr...

Fragilité...Te souviens tu de ce concert, ils étaient des milliersdans l'ivresse et la fête, à se consummerL'envie de s'y perdre, comme dans un drap transperçant la plaine des mots internationaux, presque anglaiset sur leurs bouches le sang du monde,  ils étaient grandscomme des statues, des églises  Aux rythmes têtus, avec de la fumée entre l...

Elle...Sur le marche pied,  un trajet dans la nuit a rendu ses couleursparmi le petit nombre de gensun Vuitton est la rupture, au prix d'une certaine chaleurquelques points d'obscurité y prennent corps, et nourrissent le songe pour tisser un roman, épuré et pâleElleignore la ligne droite des frontières, comme une icône qui se dévoileà l'origin...

Brunch...Je tournais sur ta voix, des mots brûlants au vernis de moleskine, des lignes de voyage à l'identité compositepour un public urbain Griffe factuelle, nomadisante, sur des carnets d'auteurs Petit matin, quand le ciel est bas, l'anatomie de la terreune illusion dans le parfum des fleursMais il y a ton sourire comme un objet précieux, u...

Une heure à peine...Dans un bain de mai, un verre que tu reposes Une imposture au ventre plat, comme une pub que l'on respiresur le mur d'un cinéma te mettra sur écoute, de part et d'autre du grand pontrien qu'un mouvement  dans les allées de rondeUne heure à peine...26/03/2009