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De ta chambre...Tu as le goût de ces étés au bord de la terre sans les mots pour le dire, maintenant que tu sors au NordSous un soleil opalin, quelques feuilles de lierre, dans la sortie du coursTout cet espace dans un coin, pour un voyage immobilelissé, que n'arrête aucun mur...    lcp 10/04/2009                                        

Zone B...Le double mouvement est à l'oeuvre, à vous lire, simplement du regardd'une certaine manière, périurbaine constellés de stickersà la reconnaissance dissemblante et évocative, un premier jugement sociologiquetoisant le vide de haut, une certaine compréhension, un désir décentréd'une extrème diversité, il n'y aucun poncif dans la zon...

Des heures saines et lasses... Elle tend l'ébène vers les ondes le corps en ligne, sur la margede mille dossiers à fuir...lcp 08/05/2009                                            

Il n' y avait rien de mal...

Une certaine règle extérieure, un espace lié dans l'enjeu du cadre
comme un régistre monacal découpant le ciel, où se superposent les rythmes
continus et fusionnels, cube de verre aux traits cuivrés
abritant des centaines de boutiques, dans le tourbillon des affaires

Tu étais mon projet cl...

Le domaine perdu...

Du versant clair, une faille, un corps, le long des racines
un ciel accroché à sa face, quand le printemps vient faire le vide
et ne fait que passer
La lumière s'allonge et se traîne, dans l'agonie de la caste
la terre ne fait plus de caprice, quand déborde le jour sur ta manche

Un pillage à la forme insensée, un avant...

La haute falaise…A l’écart des modes, de la langue, des lieux, généalogie de l’espaceSédiment sinueux, enchâssement du récit et de l’échocomme un plaisir esthétique, une affinité élective, un fragment de passageEndroit inaccessible et clos, émouvant quand le vide touche son humeur Une poussée à l’origine, un dénouement…lcp 30/04/2009

Un fil de cuivre...

Des liens, un fil de cuivre, comme un enfant du monde qui s'affiche
du strass sur les doigts, pour y chercher l'essence
de ce pli qui n'a jamais été écrit
Tu sais, la couleur de l'or est une escorte
un cachet, pour mettre ton nom sur ce texte
Dis moi, pourquoi faut il tricher, pour retenir l'été
au bout de...

Saint pétersbourg III...Sur la terrasse reflètent les humeurs, un soleil blanc d'insomnie presque un écart, dont tu es la vedette, autour du son, la perspective et ses palais, rangés comme une collection se dressent en avant première, des langues étrangères, mises en lignePour amasser ton image, rien d'établi, que l'éloquence préemptant le cie...

  A peine...Je prendrais le temps de passer, pour toucher ta main à peine te laisser dehors, quand la ville brillera du feu des maisonspeu importe ce que l'on dira pour rougir, juste l'impression de la nuit sur les vitreset quelques notes de pîano en coin, dans l'absence de nos voix...lcp 27/04/2009                                  

Tu seras près des marches...?

Celles qu'a foulée la génération précédente, fidèle à la tradition identitaire
pour pallier à la communauté des destins, irrationnels et possibles
juste impressionné par les titres, une évidence indissociable à la nouvelle technologie

Près des longues files, c'est l'histoire d'une heure, pour que je te...