lacape' Blog

Elle est d'ici...ou de quelque part... Deux gants en somme, un duo, comme un phalanstère entouré de landes sans mouchoir, naîtra la nacre, un jour plus loin en bordant l'hiverLe sourire debout, je l'imagine sur un fil que l'on cache au milieu  comme une terre, un diamant, pour fermer les yeux sans évantail, les violons joueront en silence...

Va...Continue, oui continue d'aimer les jours blancs que le désir entraînejuste une absence, comme un accord infidèle, une escale pour voir l'hiver derrière la grillequi flanche il sera dimanche et un ciel incertain dans bien peu de terrelorsque tu traverseras la rue, perdant la voix, après le blasphème, sur l'épaule d'un trainaperçu, qui...

Danse le ciel...


Danse le ciel
des deux côtés du Dam, comme si de rien n'était
une liste interminable dans le quartier, quand j'aperçois ce si bel abandon, qui m'intronise
La peindre assis pour qu'elle sorte, en plein vent sur le pont, mêlée d'alcool et de sel
avec de la lumière qui déraisonne, celle que les maîtres ont pronon...

Sur la bouche...

Sur la bouche du pont que les grands oublis
Faible rempart, d'un jour peut être, quand le ciel est en doute
dans son dernier regard
Libre et sans attache, je t'écris pour décrocher la grève
au milieu des voyageurs pressés
quelque part, appuyé sur le métal

Une dernière couleur...


lcp 17/02/2009

Entre vous et moi...En long cortège la ville s'en va, parcourant toutes les ruellespeuplées de froid, le vent flanche, sur le bas côtéEn contre jour, de bas en haut, se déroule le reflet, tout gris de cielde quelques lignes, aux mêmes armescelles qui dépassent, les absolues, peintes en bleu, pour voir de prèstout ces liens qui arrachent, après le temp...

Un peu...Comme des mots compressés que l'on jettentsur la rive, du haut de l'enfance, pour les attireril y a des montagnes en silenceRien ne s'arrête, ni les rêves où l'on s'endortet qui s'échouentNi les erreurs, ni les secrets, quand le temps passedans les vitrines, bombant le torseIl y a des doigts qui s'éloignent prudemmentu...

Q L Kobenhavn...

C'est une aile, une grave erreur que de croire
que ce bottin n'est plus à jour quand le vent fait son numéro
pour les cendrillons
La mienne est légère, juchée sur son vélo acquis sans façon
s'échappant au frimas, sur les murs de la ville
la couleur du givre, au soleil triomphant
Elle me parle tout bas, de ces cafés sans s...

Place saint marc...Juste un sourire, comme une femme qui dort avec indifférenceun ultime recours, des mots dans leurs cachettes, devant les gens qui passentà l'écoute magnifique, ranger dans un étui, comme un trésorle palais découvert, avant qu'il ne soit éteint...lcp O5/02/2009

Une aquarelle...

Dans le ciel, infini et précis, la tête dans les épaules
comme une symphonie, celle que l'on assassine, les jours de fêtes
Le feuillage au front, la couleur de la pierre, soumise, incessante
inutiliment née, entre parenthèse
une rue est desservie, drôle de programme, de ces traits
grands et petits, du pont, une aquarelle regarde.....

D'une file...D'une filel'histoire d'être, la ferveur qui gronde, Il y a des enfants dans la rue, comme une porte sur le mondec'est encore l'Europe autour des étrangersLe mystère du sérail, quand la ville se fait douceils ont le même sang sous la peau et l'envie de l'âpre libertéIls reconstituent les piècesdans leurs yeux br...