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Encore un instant...Du vent et du gris, en cavale, où plus rien ne menaceque les fonds de bar, qui racontent et croisenttous ces colliers qu'ils m'auront offerts, quand sonnera l'heure de l'égopour descendre le boulevard, où l'on croit, perdu dans cette ville immenseJe trouverais la raison vu d'ici, en transparence, des marges tomb...

Soumettre... Soumettre ce lien de communauté, favorisant l'émergence bibliqueune extraordinaire adaptation entre les différentes sources, de petites variations aux intentionnalités métaphoriques La distance de l'oeuvre, intégrée, contingente une prescription particulière, une ligne de conduitedonnant naissance à la beauté, une exception humainepar...

Volutes...Volutes amputées, je me joins à l'affluenceoù ton corps me délace au milieu de la boutiquec'est la chaleur des luminairesP..... ! que tu es belle, apporte moi un vin d'Italieet le désir des impassesPrise en otage, le temps d'une lunej'attends qu'elle oublieD'ici la rue est imprenable, je me blottis, béantle dernie...

Il le fallait...

Il fallait que tu viennes, l'absence était en gêne, d'avoir trop attendue
ces heures naissantes, que l'ont formés, nous avons prononçés la salve
Sanglés, en haut d'une tour, sans lampe dans le noir
Un frisson, rassemblé sur ta peau, un seul nom au bord
Tu étais si belle comme on le dit, c'étai...

Juste un mot sur la porte...

Un double regard
une façon de passer les doigts avides
en alternance
Près de la scène, qu'on lisse si grand
Du silence, surtout l'hiver, on y rencontre plus personne
quand le vent en mineure fait un tout petit bruit
comme un baiser très chaud, en plein jour
prenant la relève, entre les murs de l'océan...


lcp...

A l'abri...A l'abri sous l'ombrelle d'or et de chosesla fenêtre ouverte sur la ville, sans bruit ni gesteStatique, tu contemples les autres, mais de côtédans les gouttesPour le plaisir sur ma peau des éclats de larmele temps de rien, sans défense, je dévie les ruesde la grande cité là où le ciel s'étendPour toi...lcp 10/01/2009

C'est en rêvant... Un antre, dans le reflet des ornières où les souches se pavanentpour mettre des couleurs, quand le plafond est bas, à force de chercher une autre toileIls resteront comme une flamme, sur le chemin de leur voyage...à Yvonne et Augustin.lcp 07/01/2009 toile d'alexandre Litkevytch

Il se peut...Il se peut que tu te souviennes que perché dans le hautau terme du voyage, il y avait une adresse sur mon agendaà regarder la ville, précoce et dérisoire, m'offrir l'image ainsi vêtuede son visage Un immeuble et son autre face, quand le noir me guidaitvers un escalier comme dans le fond d'un paysagedécoupant mon inconscient les ge...

ddddd

Le dos au mur...

Des mots sans répliques, la conscience mauve
dans la nuit des rois, ont appris les signes
Il me faut un trait de bistre dans une alcôve
Une fenêtre humide et froide sous ma chemise
pour qu'elle se vide, quand la lune est parée d'un tissu blanc
que l'on jette au feu

Alors je m'allonge...


lcp 01/01/2009