Je ne regretterai jamais ces perspectives;
La vallée,
Féminine à l'excès,
Légèrement provocante,
Soumise aux nombres écrits des arbres.
Et ces montagnes,
Aux lignes fières et belles,
Bleu sombre,
-Eau d'aquarelle.
Je ne regretterai jamais ces pierres blanches,
Erigées vers le ciel
Qui tranche,
Sépare,
Le bien du mal;
Le ciel,
Qui de son bleu turquoise,
Inonde l'ombre.
je ne regretterai jamais
Les oliviers et leur vert argenté,
Attentifs aux rayons de lune.
La lune,
Partout la même,
Pourtant en nous si différente.
Et si,
Si tout bascule au crépuscule.
Il faudra bien qu'un jour
La plaine humaine et chaude
Me gagne.
-Morgan-
La vallée,
Féminine à l'excès,
Légèrement provocante,
Soumise aux nombres écrits des arbres.
Et ces montagnes,
Aux lignes fières et belles,
Bleu sombre,
-Eau d'aquarelle.
Je ne regretterai jamais ces pierres blanches,
Erigées vers le ciel
Qui tranche,
Sépare,
Le bien du mal;
Le ciel,
Qui de son bleu turquoise,
Inonde l'ombre.
je ne regretterai jamais
Les oliviers et leur vert argenté,
Attentifs aux rayons de lune.
La lune,
Partout la même,
Pourtant en nous si différente.
Et si,
Si tout bascule au crépuscule.
Il faudra bien qu'un jour
La plaine humaine et chaude
Me gagne.
-Morgan-
Ambiance feutrée et douce au coeur.
Très beau poème.
Amicalement.
hasia