Vienne !
Un printemps solennel,
Pour qu'enfin nos jours deviennent,
Longueur.
Partout autour de nous,
La sérénité olympienne
De triolets éternels.
Une sérénade s'accroche à la frondaison des arbres.
Energique, l'hiver se cabre,
En noires pointées.
A travers ta main gantée,
Je sens le froid.
Partout autour de nous
Un étrange "blizzard".
Et dans le kiosque on joue Mozart !
Est-ce par hasard ?
Vienne !
Des mots d'amour à nul autre pareil,
Pour qu'enfin nos jours deviennent,
Langueur.
N'ayons pas peur !
Une sérénade s'approche de nos coeurs de marbre,
Ressuscités.
Et dans le kiosque on joue Mozart.
Est-ce par hasard ?
Un printemps solennel,
Pour qu'enfin nos jours deviennent,
Longueur.
Partout autour de nous,
La sérénité olympienne
De triolets éternels.
Une sérénade s'accroche à la frondaison des arbres.
Energique, l'hiver se cabre,
En noires pointées.
A travers ta main gantée,
Je sens le froid.
Partout autour de nous
Un étrange "blizzard".
Et dans le kiosque on joue Mozart !
Est-ce par hasard ?
Vienne !
Des mots d'amour à nul autre pareil,
Pour qu'enfin nos jours deviennent,
Langueur.
N'ayons pas peur !
Une sérénade s'approche de nos coeurs de marbre,
Ressuscités.
Et dans le kiosque on joue Mozart.
Est-ce par hasard ?
Somptueuse sérénade!
Amicalement.
hasia