Il se prend il s'étonne s'abandonne
Laisse le corps sans vie sans voix repu
Caresse le temps dévie ce qu'il donne
Vers la mort et l'envie de corps qui puent
Il se tend quand il tonne l'innocence
Du désir des enfants de l'insouciance
Il se pend à la corde d'indécence
Quand le sang éjacule d'impatience
Je l'ai vu s'appliquer sur des corps nus
Je le sais abdiquer face à la trace
Laissée par un mâle un plus cornu
Que je sens fatigué de cette crasse
Je le crois accablé des utopies
Des amours éternuées sur l'oreiller
Je pense qu'il y croit alors tant pis
Je le laisse rêver sans l'éveiller
Laisse le corps sans vie sans voix repu
Caresse le temps dévie ce qu'il donne
Vers la mort et l'envie de corps qui puent
Il se tend quand il tonne l'innocence
Du désir des enfants de l'insouciance
Il se pend à la corde d'indécence
Quand le sang éjacule d'impatience
Je l'ai vu s'appliquer sur des corps nus
Je le sais abdiquer face à la trace
Laissée par un mâle un plus cornu
Que je sens fatigué de cette crasse
Je le crois accablé des utopies
Des amours éternuées sur l'oreiller
Je pense qu'il y croit alors tant pis
Je le laisse rêver sans l'éveiller
Il se tend quand il tonne l'insouciance
Du désir des enfants de l'innocence
Il se pend à la corde d'indécence
Quand le sang éjacule d'impatience