Sur l'écran blanc du silence
Où les heures se balancent
Elle tisse son contact.
Glisse ses doigts avec tact
Sur le clavier fait de toile
D'une âme qui se dévoile
« Je t'aime » dans ses artères
Comme un vol d'oiseau aptère
Un verbe vain mais vainqueur
Précipite vers son cœur
Le sang des désirs pas sages
Sur le tissu du message
Imagine un rendez-vous
Ce plaisir que tu avoues
N'être qu'un voile étiré
De l'amour à déchirer
La rencontre sans promesse
De vos corps sans la grand messe
Elle hésite se désiste
Malgré l'envie qui résiste
Qu'un drap épais et souillé
Cousu d'un fil embrouillé
Vienne vite découvrir
Une fenêtre à ouvrir
Sur la cour des pestilences
Sur l'écran blanc du silence
Où les heures se balancent
Elle tisse son contact.
Glisse ses doigts avec tact
Sur le clavier fait de toile
D'une âme qui se dévoile
« Je t'aime » dans ses artères
Comme un vol d'oiseau aptère
Un verbe vain mais vainqueur
Précipite vers son cœur
Le sang des désirs pas sages
Sur le tissu du message
Imagine un rendez-vous
Ce plaisir que tu avoues
N'être qu'un voile étiré
De l'amour à déchirer
La rencontre sans promesse
De vos corps sans la grand messe
Elle hésite se désiste
Malgré l'envie qui résiste
Qu'un drap épais et souillé
Cousu d'un fil embrouillé
Vienne vite découvrir
Une fenêtre à ouvrir
Sur la cour des pestilences
Sur l'écran blanc du silence
Sur l'écran blanc du silence
Où les heures se balancent
Elle tisse son contact.
Glisse ses doigts avec tact
Sur le clavier fait de la toile
D'une âme qui se dévoile
Des « Je t'aime » dans ses artères
Comme un vol d'oiseau aptère
Un verbe vain, vain mais vainqueur
Précipite vers son cœur
Le sang des désirs pas sages
Sur le tissu mou du message
Imagine un rendez-vous
Ce plaisir que tu avoues
N'être qu'un voile étiré
De l'amour à déchirer
La rencontre sans promesse
De vos corps sans la grand messe
Elle hésite se désiste
Malgré l'envie qui résiste
Qu'un drap épais et souillé
Cousu d'un fil embrouillé
Vienne vite découvrir
Une fenêtre à ouvrir
Sur la cour des pestilences
Sur l'écran blanc du silence