Voici l'heure aux mécaniques ultimes,
Aux décompositions bien réglées,
L'heure, attente que le ciel s'abîme
Dans un rêve, par ton souffle cinglée !
Le vent dehors hurleur de désespoir
Efface ton verbe aux chants indiscrets.
Te faut-il faire encor semblant de croire
Qu'il te confiera demain son secret,
Lui qui n'a jamais parlé qu'aux pierres ?
Voici l'heure qui clôt les paupières
Sans un Ave, sans un Pater Noster !
Quand le sang coule, elle n'est jamais prête,
Quand l'âme doute, il ne fait plus le fier.
Voici l'heure sincère et malhonnête !
Tu peux l'écrire en bleu, tromper la vie,
La recouvrir du noir de ton pinceau,
Tu sais l'amour, l'impossible survie,
Le court baiser dont tu portes le sceau.
Aux décompositions bien réglées,
L'heure, attente que le ciel s'abîme
Dans un rêve, par ton souffle cinglée !
Le vent dehors hurleur de désespoir
Efface ton verbe aux chants indiscrets.
Te faut-il faire encor semblant de croire
Qu'il te confiera demain son secret,
Lui qui n'a jamais parlé qu'aux pierres ?
Voici l'heure qui clôt les paupières
Sans un Ave, sans un Pater Noster !
Quand le sang coule, elle n'est jamais prête,
Quand l'âme doute, il ne fait plus le fier.
Voici l'heure sincère et malhonnête !
Tu peux l'écrire en bleu, tromper la vie,
La recouvrir du noir de ton pinceau,
Tu sais l'amour, l'impossible survie,
Le court baiser dont tu portes le sceau.
là voyez vous c'est l'heure de vous lire, celle de vous écouter..vous chercher aussi..
mais c'est aussi celle d'attendre
de se perdre
celle de partir peut être
mais l'heure d'aimer Emrys, celle là, il faut la bloquer pour l'éternité