Posté par michelconrad,
02 avril 2018
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En s’adressant au poète, on dit, quelquefois : « quelle imagination ! ». Mais le poète n’a fait que focaliser sur un nuage, un arbre, une fleur, – et laisser son âme voguer, dans une quête désespérée de la lumière.
Posté par michelconrad,
02 avril 2018
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On a souvent l’illusion que quelques mots que l’on a pu écrire vont abaisser le pont-levis d’un cœur. Ils le feront, mais très invisiblement. Une fois tracés, les mots voyagent. Quelqu’un cueillera, un jour, cette rose, à la surface de l’eau noire.