Il y a des lignes de clivage aussi hautes que des murailles : celle, par exemple, qui sépare les admirateurs de Mozart de s admirateurs de Bach. Pour ma part, je suis toujours resté devant la musique de Mozart comme un vagabond qui ne s’autorise pas à franchir le seuil d’une maison. En revanche, les « Suites...

michelconrad' Blog
Le parler populaire, dans mon enfance, dans le milieu social qui était le mien, recelait cette expression : « cela cherche la neige ». C’est un peu cela que l’on vit, depuis quelques jours : une attente silencieuse de cette conjonction physico-chimique, cette pluie qui n’en sera pas une, puisqu’e...
Au milieu de l’hiver,
le printemps est si loin,
comme l’est mon amour,
mon si précieux chagrin,
le printemps est si loin,
ma rive de lumière,
mon si précieux chagrin,
au milieu de l’hiver,
ma rive de lumière,
qui fait le cœur moins lourd,
au milieu de l’...
le printemps est si loin,
comme l’est mon amour,
mon si précieux chagrin,
le printemps est si loin,
ma rive de lumière,
mon si précieux chagrin,
au milieu de l’hiver,
ma rive de lumière,
qui fait le cœur moins lourd,
au milieu de l’...
Il n’est pas de lueur qui puisse éclairer le plus précieux mystère : le cœur de l’être aimé. L’amour, lui, suit toujours des chemins de traverse.
11/1/19
11/1/19
Dans l’amour, un sortilège transforme chaque partie du corps de l’aimée, son regard est un abîme où votre âme se perd, et sa voix la musique des sphères. Quand l’amour décline, la réalité prosaïque se superpose lentement à cette image enchantée, et nous nous élançons...
Le seul mérite d’un photographe est de discerner ces quelques secondes où la réalité se transcende, donne à voir cette magie des choses et des êtres pour nous apprendre qu’il existe un au-delà de la banalité, un moment miraculeux et transitoire : la beauté.
10/1/19
10/1/19
Un coucher de soleil, c’est une vitrine de bijoutier, où des joyaux brillent de mille feux, jusqu’à ce que, sans prévenir, le rideau s’abaisse, inexorablement, – et c’est la nuit.
9/1/19
9/1/19
La journée fut le lieu des métamorphoses, : les ténèbres ont, soudain, envahi le ciel, avant que ne surgisse un ciel d’azur. Seul l’hiver nous propose ces voyages inattendus, à travers les saisons.
9/1/18
9/1/18
Quand on photographie, a vant que ne se transforme ce qui s’offre à notre regard, et qui est aussi éphémère qu’un rayon de soleil entre deux nuages, il s’agit de cueillir l’instant, comme on saisit l’instant d’écrire, l’instant d’aimer.
9/1/19
9/1/19
Par leur force sereine, les arbres, fraternels, sous toutes les latitudes, dans tous les continents, dans la douceur des pluies, l’âpreté des déserts, enseignent comment vivre.
9/1/19
9/1/19
Derniers billets
-
Ce flamboiementhier, 02:24
-
Un immense fleuvehier, 02:20
-
L’amour dans mes poèmeshier, 02:20
-
L’adoration10 septembre 2025
-
Le soleil d’aimer10 septembre 2025
Derniers commentaires
-
Au véritable amourmichelconrad - sept. 01 2025 02:56
-
Au véritable amourM. de Saint-Michel - sept. 01 2025 11:48
-
La fenêtremichelconrad - juil. 19 2025 03:06
-
La fenêtreM. de Saint-Michel - juil. 19 2025 11:56