Vivre, c’est témoigner de l’accélération du temps, c’est voir se croiser les lignes du présent, du passé, de l’avenir. Tant d’oeuvres disent ce que furent leurs créateurs ! Chaque âme a fait entendre, à travers le temps, sa petite musique, la couleur unique de sa façon d’aime...
michelconrad' Blog
A chaque aurore,
il faut reconquérir
tous les bonheurs
perdus.
21/10/18
il faut reconquérir
tous les bonheurs
perdus.
21/10/18
Toutes les figures de la mythologie sont des figures du petit théâtre de nos âmes : nous sommes, selon les lieux, selon les jours, tour à tour, Sisyphe, Prométhée, Orphée. Ce dernier est peut-être la figure centrale de nos âmes mendiantes, car la société du spectacle nous jette en pâture des spec...
Construire un palais de mots,
y ouvrir un espace,
pour que votre ombre y vienne
combler le gouffre
de l’absence.
19/10/18
y ouvrir un espace,
pour que votre ombre y vienne
combler le gouffre
de l’absence.
19/10/18
L’art naît
de la brisure,
de l’âme en feu
sous la pluie battante
de la réalité.
20/10/18
de la brisure,
de l’âme en feu
sous la pluie battante
de la réalité.
20/10/18
Comme alternent les jours et les nuits, nous ne faisons que perdre et retrouver nos raisons de vivre, jusqu’à l’heure de la dernière trajectoire, quand il n’y a plus de spirale, ni d’ellipse, en cet instant des confins, que traduit éloquemment le spectacle d’un arbre exténué, qui ne donne plus de frui...
Être aimé, cette grâce,
tu me l’as refusée,
je vis sans elle, hélas,
si loin de ta beauté,
tu me l’as refusée,
cette joie nonpareille,
je vis sans elle, hélas,
cette unique merveille,
cette joie non pareille
qui éclaire l’espace,
cette unique merveil...
tu me l’as refusée,
je vis sans elle, hélas,
si loin de ta beauté,
tu me l’as refusée,
cette joie nonpareille,
je vis sans elle, hélas,
cette unique merveille,
cette joie non pareille
qui éclaire l’espace,
cette unique merveil...
Absorber le poème, comme on le fait d’un grand verre d’eau fraîche, au beau milieu de l’été. Renouveler le geste, tant que le soleil est haut dans le ciel. Au crépuscule, relire le poème et y chercher, comme des photons dans la nuit, les paillettes de lumière que, forcément, il recèle. Au peti...
Dans les arbres du jardin, les oiseaux crient, se chamaillent. Il y a du vent. Les feuilles jonchent le sol. Ici aussi, mon cœur me parle de toi, et, sur un carnet qui ne me quitte pas, j’écris des mots en me disant qu’ils sont, aussi, des graines qui dorment dans l’attente d’un éternel printemps.
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Quand viennent
toutes les tristesses
en pluies, en torrents,
c’est la poésie
qui retient le fil
de ce cerf-volant,
la vie.
15/10/18
toutes les tristesses
en pluies, en torrents,
c’est la poésie
qui retient le fil
de ce cerf-volant,
la vie.
15/10/18
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