Les textes que m’inspirent un être, un paysage, un instant de vie ne sont jamais de la même « teneur » : quelque chose se passe, comme, dans son atelier, entre le sculpteur et son modèle, comme entre le paysage et le peintre qui a dressé son chevalet en plein air, quelque chose qui relève de la plus vibrante alchim...

michelconrad' Blog
En quête de beauté,
je consacre mes heures
à chercher le reflet
irisé du réel,
la poésie sommeille
au cœur de chaque chose
elle brille en secret
dans le ciel, dans la rose,
j’extrais, à toute force,
du charroi des chagrins,
la tremblante lumière
pour éclairer les jours.
...
Je quitterai la terre
avec le cœur avide
de cet immense amour,
dont j’ai rêvé en vain.
29/10/17
avec le cœur avide
de cet immense amour,
dont j’ai rêvé en vain.
29/10/17
Il faut parler, écrire, non avec éloquence, non avec alacrité, mais avec les tremblements, avec la maladresse d’une âme qui cherche à accéder à la lumière.
29/10/17
29/10/17
Moments trop tôt disparus,
vers lesquels l’âme soupire,
ces moments d’amour perdus,
s’en souvenir est martyre,
vers lesquels l’âme soupire
le soleil de ta présence,
s’en souvenir est martyre,
inépuisable souffrance,
le soleil de ta présence
cette étincelle qui fut,
inépuis...
vers lesquels l’âme soupire,
ces moments d’amour perdus,
s’en souvenir est martyre,
vers lesquels l’âme soupire
le soleil de ta présence,
s’en souvenir est martyre,
inépuisable souffrance,
le soleil de ta présence
cette étincelle qui fut,
inépuis...
Ce que tu n’écris pas, aujourd’hui, tu ne pourras l’écrire demain, car l’amour, la tristesse, la solitude auront changé en toi de teintes et d’accents, comme il advient sans cesse que le ciel change, telle la scène d’un théâtre où l’on changerait, jour et nuit, nuit et jou...
Dans la forêt du temps,
j’entreprends quelques pas,
traversant quarante ans,
dans les années sépia,
j’entreprends quelques pas
aux rives du passé,
dans les années sépia,
vers toi que j’ai aimée,
aux rives du passé,
je vais, en avançant,
vers toi que j’ai aim...
Dans la douceur d’octobre,
s’embellit chaque chose :
mon cœur est trop étroit
pour contenir la joie.
26/10/17
s’embellit chaque chose :
mon cœur est trop étroit
pour contenir la joie.
26/10/17
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