Les misérables mots aboient tout leur content,
ils croient être, au dedans de nous, une fenêtre,
de nos coeurs discordants le miroir, ils croient être
la voix. J’ai cru en eux, pour mon malheur, longtemps.
Seuls les gestes parfois peuvent être entendus :
les mots sont maladroits à peindre la mouvance
de l...
ils croient être, au dedans de nous, une fenêtre,
de nos coeurs discordants le miroir, ils croient être
la voix. J’ai cru en eux, pour mon malheur, longtemps.
Seuls les gestes parfois peuvent être entendus :
les mots sont maladroits à peindre la mouvance
de l...