Aux mémoires labiles,
Ton âme est convexe,
Occultant des miroirs
Les recoins ombrageux,
Jusqu'en ces commissures
Où se fend, si clémente,
La courbe d'un silence.
Et le mien, sous le trait
De tant d'ingratitude,
S'ouvre aux parenthèses.
Deux petits arcs éclos.
Comme il est bon d'aimer.
Ton âme est convexe,
Occultant des miroirs
Les recoins ombrageux,
Jusqu'en ces commissures
Où se fend, si clémente,
La courbe d'un silence.
Et le mien, sous le trait
De tant d'ingratitude,
S'ouvre aux parenthèses.
Deux petits arcs éclos.
Comme il est bon d'aimer.