Et j'écoute la voix
De la horde qui marche,
Et j'entends le desert qui jubile.
A sa moire,
Un silence longtemps embroché,
Taffetas et satin
Dont on foire les toges,
Du bel ocre là-bas où l'éxsangue se farde,
On éteint par le feu,
Les éclats damassés.
Pauvre hommage confus à l'endroit des pénombres,
Et ces bouches ne rendent
Qu'un fi de l'égoût,
Dans quoi créve la haine au soleil dépoudré.
Une bulle nue, presque, et rien ne l'irise.
pas même les mouches.
Qui des hommes furieux,
Qui des rats apeurés.
De la horde qui marche,
Et j'entends le desert qui jubile.
A sa moire,
Un silence longtemps embroché,
Taffetas et satin
Dont on foire les toges,
Du bel ocre là-bas où l'éxsangue se farde,
On éteint par le feu,
Les éclats damassés.
Pauvre hommage confus à l'endroit des pénombres,
Et ces bouches ne rendent
Qu'un fi de l'égoût,
Dans quoi créve la haine au soleil dépoudré.
Une bulle nue, presque, et rien ne l'irise.
pas même les mouches.
Qui des hommes furieux,
Qui des rats apeurés.