Au froid linéament de votre nudité,
Des larmes de cristal ont prostré les saisons.
Superbe vastitude et triste corpulence,
Ainsi que l'étendue d'une désolation.
Elle est votre regard où manque à cette ruine,
Une once de buée, l'autre voix qui résonne
Et fait voeu de silence.
Il est un bercement entre deux horizons,
De l'abime à l'éveil, vous en témoignerez.
Vous, survivant au soir, lueur parmi les ombres.
Esquisserez la faille à propos d'un sourire,
Comme un élancement, comme une guerison,
Plutôt que d'en mourir.
Des larmes de cristal ont prostré les saisons.
Superbe vastitude et triste corpulence,
Ainsi que l'étendue d'une désolation.
Elle est votre regard où manque à cette ruine,
Une once de buée, l'autre voix qui résonne
Et fait voeu de silence.
Il est un bercement entre deux horizons,
De l'abime à l'éveil, vous en témoignerez.
Vous, survivant au soir, lueur parmi les ombres.
Esquisserez la faille à propos d'un sourire,
Comme un élancement, comme une guerison,
Plutôt que d'en mourir.