Un monde qu'on divise,
et vous,
l'ombre des autres,
dés lors que l'on vous gomme,
ils ne font que tomber.
Les vertiges enfouis,
en vous,
et si haut qu'on les porte,
aux nues,
reposant dans la nuit ,
sans l'ombre de cette ombre,
vous tenaient à genoux.
Un monde qu'on divise,
et vous,
dans la lumière,
c'est l'autre qu'on estompe,
à peine du halo,
un cercle qui le guide
au front des dignités.
vous fermerez les yeux,
ô quiétudes séantes
où sombrent les regrets.
Pardonnons à ce monde,
si double et indivis.
il n'aura pas de cesse
comme une méprise
que vouloir mal aimer.
et vous,
l'ombre des autres,
dés lors que l'on vous gomme,
ils ne font que tomber.
Les vertiges enfouis,
en vous,
et si haut qu'on les porte,
aux nues,
reposant dans la nuit ,
sans l'ombre de cette ombre,
vous tenaient à genoux.
Un monde qu'on divise,
et vous,
dans la lumière,
c'est l'autre qu'on estompe,
à peine du halo,
un cercle qui le guide
au front des dignités.
vous fermerez les yeux,
ô quiétudes séantes
où sombrent les regrets.
Pardonnons à ce monde,
si double et indivis.
il n'aura pas de cesse
comme une méprise
que vouloir mal aimer.