L'averse salvatrice a nettoyé le ciel.
Cette pluie abondante est providentielle.
L'azur a le plus beau des bleus de la nature.
Notre étoile n'a plus d'instruments de torture.
La flore, brûlée vive, a bien meilleure mine
Et la terre alourdie ne crie plus trop famine.
J'écoute avec plaisir, dans ce court renouveau,
La rumeur de la ville et le chant des oiseaux.
Tous ces pics de chaleur me font beaucoup suer,
Dans tous les sens tu terme et je hais les étés
Qui tuent à petit feu l'automne et le printemps.
Ces deux justes milieux n'en ont plus pour longtemps.
J'ai hâte de revoir les rues dans le brouillard,
Les premières gelées, les petits jours blafards,
De marcher dans la neige, au chaud dans un gros pull,
Loin du mois de juillet et de la canicule.
Cette pluie abondante est providentielle.
L'azur a le plus beau des bleus de la nature.
Notre étoile n'a plus d'instruments de torture.
La flore, brûlée vive, a bien meilleure mine
Et la terre alourdie ne crie plus trop famine.
J'écoute avec plaisir, dans ce court renouveau,
La rumeur de la ville et le chant des oiseaux.
Tous ces pics de chaleur me font beaucoup suer,
Dans tous les sens tu terme et je hais les étés
Qui tuent à petit feu l'automne et le printemps.
Ces deux justes milieux n'en ont plus pour longtemps.
J'ai hâte de revoir les rues dans le brouillard,
Les premières gelées, les petits jours blafards,
De marcher dans la neige, au chaud dans un gros pull,
Loin du mois de juillet et de la canicule.
- Esterina, M. de Saint-Michel, Sinziana et 1 autre aiment ceci