Tu es une année noire inspirant le dégoût.
Tu aimes follement mettre les gens à bout.
Tu me fais endurer de très mauvais quarts d'heure
Et tu ne vaux pas mieux que ta méchante sœur
Qui, il y a un lustre, a brisé tant de vies.
Cabu n'existe plus et la fête est finie.
Tu es un mauvais vin, douze mois bouchonnés
Que le temps a tiré et qu'il faut avaler
Jusqu'à l'infecte lie, l'acte le plus barbare.
J'aimerais que la peur se barre dare-dare
Dans un autre Univers, à perpète-lès-oies,
Que ce soit l'euphorie qui refasse la loi.
Où sont les jours heureux, les Trente Glorieuses ?
Sommes-nous au début des Quatre-Vingt Affreuses ?
Toute une vie de femme à se ronger les sangs !
Je redoute beaucoup le monde d'à présent.
Je ne le comprends pas et je mets ma capuche,
Ma tête dans le sable, à l'instar des autruches.
Je me remplis le cœur de charmants souvenirs
Pendant que l'inconnu étend tout son empire.
C'est un croque-mitaine et un extraterrestre.
Pauvres jours de Noël et de la Saint-Sylvestre,
Aux timides bonheurs, sourires invisibles.
Année deux mille vingt, imbuvable et terrible,
Je ne peux plus t'entendre et te voir en peinture.
Tu es du temps gâché et une belle ordure.
Même si je crains fort que ton alter ego,
Deux mille vingt et un reprenne le flambeau
Et me promène aussi en laisse dans les rues,
Je te flanque à la porte, à coups de pied au cul.
Tu aimes follement mettre les gens à bout.
Tu me fais endurer de très mauvais quarts d'heure
Et tu ne vaux pas mieux que ta méchante sœur
Qui, il y a un lustre, a brisé tant de vies.
Cabu n'existe plus et la fête est finie.
Tu es un mauvais vin, douze mois bouchonnés
Que le temps a tiré et qu'il faut avaler
Jusqu'à l'infecte lie, l'acte le plus barbare.
J'aimerais que la peur se barre dare-dare
Dans un autre Univers, à perpète-lès-oies,
Que ce soit l'euphorie qui refasse la loi.
Où sont les jours heureux, les Trente Glorieuses ?
Sommes-nous au début des Quatre-Vingt Affreuses ?
Toute une vie de femme à se ronger les sangs !
Je redoute beaucoup le monde d'à présent.
Je ne le comprends pas et je mets ma capuche,
Ma tête dans le sable, à l'instar des autruches.
Je me remplis le cœur de charmants souvenirs
Pendant que l'inconnu étend tout son empire.
C'est un croque-mitaine et un extraterrestre.
Pauvres jours de Noël et de la Saint-Sylvestre,
Aux timides bonheurs, sourires invisibles.
Année deux mille vingt, imbuvable et terrible,
Je ne peux plus t'entendre et te voir en peinture.
Tu es du temps gâché et une belle ordure.
Même si je crains fort que ton alter ego,
Deux mille vingt et un reprenne le flambeau
Et me promène aussi en laisse dans les rues,
Je te flanque à la porte, à coups de pied au cul.
- Esterina, Jped, M. de Saint-Michel et 1 autre aiment ceci
Une exaspération légitime dite avec un humour jubilatoire !