L’océan est nourri par l’écume
Il s’encorde au soleil comme un garde-fou pour les larmes
Tout s’y confond et le sable rouille dans ses mains
La nuit passe comme une fuite
Entre les doigts hésitants de l’aube
Il suffit que l’océan gronde pour que les vagues s’arriment
À ce qu’elles trouvent de l’adieu
À ce peu de stridence qui clame le poème
Et mêle à la lumière le profond prisme des oracles.
Il s’encorde au soleil comme un garde-fou pour les larmes
Tout s’y confond et le sable rouille dans ses mains
La nuit passe comme une fuite
Entre les doigts hésitants de l’aube
Il suffit que l’océan gronde pour que les vagues s’arriment
À ce qu’elles trouvent de l’adieu
À ce peu de stridence qui clame le poème
Et mêle à la lumière le profond prisme des oracles.
- Esterina, silver et M. de Saint-Michel aiment ceci