
Si t'as décidé
#31
Posté 16 janvier 2009 - 08:38
Lichtenberg
#32
Posté 16 janvier 2009 - 12:42
H2B m'arrachera des larmes pour chacun de ses romans, "heureux celui qui connaît l'enfer sur cette terre" dit le curé. La maitresse de Lucien est sur le point de mourir et voilà que la seule façon de payer à son amante des funérailles décentes, c'est d'écrire de joyeuses chansons de beuverie, pour deux cent francs. H2B pousse le vice du plein pouvoir sur l'esprit jusqu'à placer une des chansons au milieu de la scène, chanson que l'on doit lire alors qu'on assiste à un malheur épouvantable. Pourquoi ne pas appeler la "comédie humaine" la "tragédie humaine" ? La tragédie n'est plus, il n'y a qu'une comédie, une ignoble farce où l'on crache sur la dignité, et sur toutes les formes du beau. Le bourgeois a gagné. Il faut que je prenne une pause après les Illusions Perdues pour relire Madame Bovary.
Vision romantique du roman :
"Le roman embrasse le fait et l'idée dans ses inventions qui exigent l'esprit de La Bruyère et sa morale incisive, les caractères traités comme l'entendaient Molière, les grandes machines de Shakespeare et la peinture des nuances les plus délicates de la passion, unique trésor que nous aient laissé nos devanciers."
Trois types de littérature selon H2B : littérature imagée et littérature d'idées. La troisième est l'éclectisme, en laquelle il s'inscrit.
#34
Posté 16 janvier 2009 - 10:54
#35
Posté 19 janvier 2009 - 07:58
-Les inoffensifs jeux de petits lions.
-Les jeux cruels. Il y a des gamins cruels qui s'amusent cruellement sur des enfants choisis. J'ai décidé de protéger les plus faibles, et je sais que j'ai tort, que je devrais encourager les plus forts à humilier les plus faibles, car tel est la loi de notre société et ce serait aide que de leur enseigner dès le départ de leur vie ce principe fondamental. Mais j'ai choisi d'en faire des poètes, sans en faire des assistés. J'ai donc sous ma protection un petit nouveau qui a du mal à s'intégrer et qui est sujet à la moquerie et aux coups de ses camarades. La pauvre chose se faisait étrangler par un voyou et courrait se réfugier derrière moi en me tenant la main. Émouvant. Je me demande comment je vais les sauver. Je ne suis pas naïf, je sais que beaucoup n'échapperont pas aux griffes du Commerce.
#37
Posté 22 janvier 2009 - 03:43
C.B.
Koh-lanta me parle bien plus de l'homme que n'importe quel truc de n'importe quel plasticien dans n'importe quel gallerie d'art. Mourid est le Lautréamont moderne. "Pourquoi n'ont-ils aucun honneur, aucune dignité ?" crie-t-il, seul dans la jungle. Parlez-moi d'un moderne, tiens. Il a refusé la stratégie, il a été pur : "Tu peux m'expliquer pourquoi on a pas d'affinités ?" qu'il demande à Philippe. Impossible pour philippe de répondre, il cache quelque chose, il s'énerve (il est raciste ?). Ca en devient métaphysique. TF1 n'est pas d'avant-garde mais c'est la meilleure en ce qui concerne la réalité fictionelle. J'appréciais déjà la Star Ac' mais Koh-Lanta vraiment c'est très fort. Je me rappelle que les cahiers du cinéma disait du Loft 1 : "le meilleur film de l'année". Ces imbéciles ont eu pour une fois raison. Le reality-show est un immense progrès artistique. En revanche je ne comprends pas encore l'engouement pour les séries américaines ou pour la série plus belle la vie.
Mardi. Acte héroïque. Ai soulevé la plaque d'égout au milieu de la cour, six nains m'entouraient "aga stylo perdu, aide-nous alexis". Très mignons, mais moi j'ai les plus grands, CM1 CM2. Arrêtez les enfants, c'est sale. Ne vous roulez pas par terre. Ne mangez pas avec vos mains. Non mais t'es débile ? Arrête de te suspendre aux branches. ON NE JOUE PAS AU CATCH SUR DU BETON. ALLEZ ON SE TAIT, SINON PAS DE DESSERTS. L'enfant a conscience de la propriété privée mais c'est le premier à pardonner quand on lui prend quelque chose. L'autre ne tarde pas à lui rendre. Je me souviens, je pleurais quand je perdais un stylo j'avais en tête la pensée que je trahissais ma famille, mes parents. A quoi jouent-ils ? Colin-maillard, épervier, parfois aux cartes. Une fois je les ai vu jouer aux chevalier jedis, ils devaient être huit à se battre en faisant semblant d'avoir des épées laser. Avec les quelques fondements d'histoire que je vais leur inculquer, ils joueront bientôt à Guillaume le plus grand chevalier du Monde. Pendant le déjeuner, une baguarre entre les deux plus forts, qui vivent une amitié du genre fusionelle, un jour ils se battent, une heure après ils font la paix. Ai entendu un langage violent "Connard", "J'encule ta mère". Le plus fort a gagné et l'autre s'énervait. Je lui ai dit : "Ne t'énerve pas, tu es moins fort, tu vas perdre. Contente toi de ce que tu es : plus faible". Les fillettes CM1 CM2 ne se battent pas, mais sont plus mesquines et se fâchent plus longtemps.
Jeudi. Deux se sont battus aujourd'hui, ******, l'élément le plus violent et mon protégé le petit ******. Ne sait pas qui était en tort. Le petit ****** est encore un bébé, peu autonome, il préfère jouer avec les CP qu'avec ceux de sa classe. Le déjeuner avait bien commencé et ils se sont tous enerver d'un coup. Penser à isoler ******* à la table des filles.
Il ne restait plus qu'un dessert je l'ai donner à celui qui a demander, ou crier, en premier. Curieusement ils n'ont pas trouver ça injuste. Les enfants raisonnent très peu.
Les surveillants mangent après les profs et les élèves. Je suis le seul à boire du vin, je me siffle la bouteille. Intéressants, ces surveillants. Font des études.
#39
Posté 23 janvier 2009 - 12:51
La science de l'écriture est une science du contraste et de la nuance.
Bien sur, je pense que le premier matériel, le plus intéressant pour un écrivain, est la société. Ainsi, plus un écrivain rend saillant les contrastes ou les particularités que connaît une société, plus cet écrivain est important, et plus l'on peut considérer son oeuvre comme aboutie. Le roman n'a d'intérêt qu'en tant qu'écrit social. Concernant la poésie, nous n'avons jamais put admettre que la poésie est une forme strictement littéraire, et nous refusons d'admettre que la poésie connaît plusieurs formes. La poésie est une et indivisible. Où loge la poésie dans le roman ? Pour l'instant je pense que la poésie est une forme de compréhension. Ce qui est certain est qu'un poème n'est pas poème seul et qu'un poème est reconnu poème.
Je médite sur la phrase de d'Arthez qui me signifie beaucoup, même si je n'ai pas le savoir du contexte historique, du contexte des idées qui lui fait dire "L'Art est la concrétisation de la nature". Tour à tour cette définition me semble gigantesque et miniscule : c'est que, pour vous dire, cette définition s'affronte même à ma conception de la définition et à mes idées quand à son pouvoir de, justement, définir. hin hin
J'ai beaucoup aimé ce passage. Merci
#40
Posté 23 janvier 2009 - 02:17
Cervelle d'agneau jaune de l'oeuf
Assemblée constituante homme politique
Mélodie enchaînée bord de verre
Nuage à nuage satellites terriens
Carreaux blanc séparations grises,
Le gris est à la mode.
Premier, temps fort, deux, trois et
Un, deux, trois.
Puis, théolionus parle, (même scène que la dernière, les deux sont assis près d'un feu, dans un vaisseau spatial).
"-Vous êtes-vous jamais demandé ce que je pense de la musique ?
-Si, mais vous savez bien que je ne poserais jamais une question tel que "Que pensez-vous de la musique ? ou "Que pensez-vous de l'Art ?"".
-Et bien, c'est très simple. La musique est inhumaine et foncièrement laide. Cela ne fait pas que l'on ne doit pas écouter de musique, au contraire, on doit s'y plonger et en écouter autant que possible. On peut également réflechir sur la musique. Mais si nous écoutions les hommes, nous serions en permanence en compagnie avec le beau des oeuvres d'Art : "Expression artistique", "Expression visuelle", "Performance" et voilà que nous est présenté le trésor dans le coeur de l'homme ! Croyez-moi, ce qui soutient l'espoir, la vie, du grand homme est la pensée que le beau ne s'est pas encore présenté."
#41
Posté 23 janvier 2009 - 04:17
Je me tais et je vous écoute.
#42
Posté 26 janvier 2009 - 12:15
Le general frotte sa main a sa celebre barbe longue de 60cm, qui cache le visage d'un ayant un commerce intime avec la folie et la faim. Puis il dit doucement : "Ce n'etait pas un ricain, c'etait un extraterrestre. Ou mirage. Mais la prochaine fois, prevenez-moi par radio. Curieux qu'il n'ait pas demander a me parler. J'ai lut que c'est dans leurs usages. Anyway, laissez-moi maintenant".
#43
Posté 26 janvier 2009 - 12:39
#44
Posté 26 janvier 2009 - 01:13
deux 2
two due
II zwo
rose
Mammifer Lopez
#45
Posté 26 janvier 2009 - 08:01
#46
Posté 26 janvier 2009 - 10:53
-Donde ?
-Ahi padre, ahi !
-Dame le fusil, fillette, et prepare des balles. Le vieux gueule au loin : Ho la bidasse ,un pas de plus et c'est un trou dans la gamelle !"
Le general repond, en gueulant pareil:
-I come in peace !
Et la fillette qui gueule aussi :
-Un militario que come in peace, no es posible !
Et le general de repondre :
-I swear by the holy ghost !
-Alors, dit le vieux, viens.
Et le general se rapproche jusqu'a s'arreter devant le couple et fait passer ses yeux rouges de la gamine au vieux :
-Je suis pas une bidasse, je suis un général.
-Prouve-le ! dit la fillette.
-Impossible. Pas eu encore l'occasion de me le prouver. Z'avez rien à boire ?
-On a de l'alcool de cactus, et le vieux tend un verre au general et sort une fiole et lui sert de l'alcool de cactus.
Le general boit et se leche lesvres :
-Bon, ca va. Qu'est ce que vous faites ici par temps de crise ?
-On cherche les parents de la petite.
Le general regarde en souriant de toute ses dents pourries la gamine qui, elle, le regarde d'un air méchant.
-Elle est mignonne. Un peu farouche, mais mignonne. Et puis bizarre d'être blonde pour une espagnole. Elle a du caractère, quoi. Ba ! Je vais vous aider. Vous allez voir que je suis general. Mais faudra me filer à boire.
-Ca marche, répond le vieux."
Et le groupe se met à marcher.
#47
Posté 26 janvier 2009 - 03:49
"-Padre, avons-nous dorenavant si peu de fierte que nous devons mentir quand a notre noblesse et a notre origine ? Est-dans l'etat d'une simple orpheline que je serais couronné reine d'Espagne ?
-Ma petite fille, trop de dangers nous menacent. L'homme de pouvoir doit connaitre la ruse.
-Et pourquoi accepter la compagnie de ce rustre ?
-Ma cherie, de cet homme nous n'avons rien a craindre..."
Au mot craindre le general se leve brutalement tirant de son fourreau une epee en bois.
"-Craindre... Craindre... Oui, craignez ! Mais, ou suis-je ? Au Mexique ? Dans cet endroit maudit que les francais ont un jour conquis avec une armee pouilleuse dont les nez etaient emplis d'oeufs de mouche ?
-Vous y etiez ? demande le vieux.
-Non, je l'ai lut. Je suis toujours arriver trop tard. Gloire, honneur, j'ai si peu vu ces idees se separer de la carapace des mots. Gaza! Tibet! Trop tard, c'est trop tard, c'est trop... zzzzz.... rote.... zzzzz... pete... zzzzz...
-Non, ma cherie, nous n'avons rien a craindre de lui.
#48
Posté 26 janvier 2009 - 04:35
Trois femmes dont les six mains caressent mon visage
Elles murmurent "Mon hero, mon hero,
Tes amis sont morts et toi,
Pas tout a fait.
Mon hero, mon hero,
Reveille-toi."
C'est un champ de bataille. Il n'y a que des cadavres et j'ai du sang partout sur le corps, du sang colle sur mes cheveux, je pourrais sortir une deuxième fois du ventre de ma mere. Les ames blanches s'elevent dans le ciel. "Smells like burnt money" dit un petit gros avec un cigare,
"-Are you the next king of Spain ?
-Im a general.
-In what army?
-I don't know yet.
-Not knowing is generally a way to lose money."
#49
Posté 28 janvier 2009 - 10:29
"-Nous voici devant Ogo. C'est une ville Mongole. J'aime ce peuple, leur yeux comprimés entre leur fronts en bosse et leurs joues pleines et rouges en font des fusils à pompe bipèdes. Redoutable peuple, dois-je vous rappeler que Genghis Kahn, le plus grand empereur qu'ait connu le monde était un Mongol ? Malheureusement ils ont un très mauvais sens de la plaisanterie, entre celui du collegien et celui de l'officier SS. Donc, faites attention et restez près de moi."
La fillette s'accorcha à la manche du vieux et lancait de furtifs coups d'oeil aux enfants Mongols torses nus qui jouaient à la guerre ou buvaient du lait de rennes dans des bols en terre cuite, aux vieillards qui sermonnaient les adolescents, des librairies où l'on vend le dernier Sollers, à tout ce joyeux bordel qu'est une ville mongole en paix. il y avait également dans toute cette foule des russes, des chinois, des patchouns, des arabes, des anglais. Le vieux suivait le general qui semblait très à l'aise et qui saluait une personne sur trois mais n'était jamais saluer en retour. "Le pauvre est fou" pensait le vieux. Mais pourtant il lui faisait confiance et il continuait à le suivre. Enfin, dans le quartier pauvre de la ville, ils s'arrêtèrent devant un bouge bar. Un petit escalier menait à laporte. Sur ce petit escalier se tenait un gigantesque Mongol incarnant dans son physique toute la splendide sauvagerie de sa race. Il tenait une pipe et la portait et la retirait de sa bouche d'un air impérial qui embrassait la ville et le monde. Comme si tout lui appartenait.
"-Auriez-vous l'obligeance, l'obèse, de vous déplacer, je peux pas passer ya ton gros cul" lui dit le général.
C'est ici que nous pouvons caractériser le général : il était très chanceux. En effet, le prénom du Mongol était Lobese et son nom de famille Yatongroscul. Ce qui fit que le Mongol s'écarta au plus grand étonnement du vieux et de la fillette. Et le groupe put entre dans le bouge bar.
#50
Posté 28 janvier 2009 - 11:08
#51
Posté 28 janvier 2009 - 01:14
#52
Posté 28 janvier 2009 - 05:07
ça sent quand même la pédale, la grosse pédale comme y en a tellement là des petits pédés ou des pédales avec leur machin d'autiste pédale aux oreilles qui écoute du ROCK mais le ROCK ça c'est vraiment un truc de pédale blanc qu'aimerait bien être un nègre, oui un nègre dans les champs de coton car oui c'est celui-là qui sait chanter et il a une raison de chanter lui ça oui il en chie le nègre ha ça les pédales blanches ont pas le talent des nègres alors ils voudraient avoir leur position les genoux blessés dans les champs des cotons ils aimeraient bien connaître la misère de ne rien avoir à claper alors ils font du ROCK et y a toute une Kulture des pédales qui aiment le ROCK parce qu'ils aiment non pas les nègres ni même la musique des nègres mais simplement se faire mettre, et ils en parlent ils font qu'en parler comme pour se faire mettre encore plus profond YEAH YEAH rock'n'roll hard life, n'empêche que Les Blancs Nous Ont Tout Volé Même Notre Musique dit Miles Davis et oui le Ricain Blanc vole le nègre et après il le donne au blanc d'Europe qui maintenant qu'il a goûté au Coca-Cola aimerait bien lui aussi connaître ce que le Blanc Ricain a put faire grâce au Nègre et ce qu'il est devenu grâce au Nègre. La musique est universelle te répond le Banc ou même le Nègre alors que c'est faux, archi-faux, car dans ta petite tête la seule chose universelle c'est la misère et ce que reconnais ta cervelle c'est un sale goût de merde, les coups de fouet et les aboiements des chiens à ta poursuite.
#53
Posté 28 janvier 2009 - 05:12
Le nègre est un esclave noir, le blanc n'est pas un nègre mais simplement un esclave blanc.
ça sent quand même la pédale, la grosse pédale comme y en a tellement là des petits pédés ou des pédales avec leur machin d'autiste pédale aux oreilles qui écoute du ROCK mais le ROCK ça c'est vraiment un truc de pédale blanc qu'aimerait bien être un nègre, oui un nègre dans les champs de coton car oui c'est celui-là qui sait chanter et il a une raison de chanter lui ça oui il en chie le nègre ha ça les pédales blanches ont pas le talent des nègres alors ils voudraient avoir leur position les genoux blessés dans les champs des cotons ils aimeraient bien connaître la misère de ne rien avoir à claper alors ils font du ROCK et y a toute une Kulture des pédales qui aiment le ROCK parce qu'ils aiment non pas les nègres ni même la musique des nègres mais simplement se faire mettre, et ils en parlent ils font qu'en parler comme pour se faire mettre encore plus profond YEAH YEAH rock'n'roll hard life, n'empêche que Les Blancs Nous Ont Tout Volé Même Notre Musique dit Miles Davis et oui le Ricain Blanc vole le nègre et après il le donne au blanc d'Europe qui maintenant qu'il a goûté au Coca-Cola aimerait bien lui aussi connaître ce que le Blanc Ricain a put faire grâce au Nègre et ce qu'il est devenu grâce au Nègre. La musique est universelle te répond le Banc ou même le Nègre alors que c'est faux, archi-faux, car dans ta petite tête la seule chose universelle c'est la misère et ce que reconnais ta cervelle c'est un sale goût de merde, les coups de fouet et les aboiements des chiens à ta poursuite.
Du B.M. Koltes tout craché.
#54
Posté 28 janvier 2009 - 05:16
rolalalaal nonon arrêtez vous me gênez vous êtes trop flatteurs olalalaDu B.M. Koltes tout craché.
#55
Posté 28 janvier 2009 - 05:53
http://l-autofictif.over-blog.com/
#56
Posté 29 janvier 2009 - 12:28
"- Il y a des parts de dégoût, d'ignorance et surtout de solitude dont on ne se sépare jamais. Plus je m'éloigne du rêve, mieux je me sens. Pourtant je serais toujours dans ce rêve et c'est ici que j'aurais toujours mal.
-S'enfermer dans ses rêves est ainsi que vivre seul.
-Alors c'est que je dois maintenant connaitre la vieillesse. Et pourtant ! Quel âge ai-je ? Personne ne le sait, pas même moi. Depuis ce virus... Impossible de me savoir adolescent ou vieillard. Ce que je sais c'est seulement que je me sens malheureux et incapable. Enfin ! Je dois devenir sénile ! Comment un homme de mon importance peut-il désirer se confier à un prochain ? N'est-ce pas là le sceau du déclin ? Un homme comme moi se confie seulement à son médecin.
-Maître, c'est à moi de me poser ces questions. Et vous oubliez que je suis, entre autres, votre médecin.
-Mon médecin et mon geolier, oui !
-Enfin ! maître !"
#57
Posté 29 janvier 2009 - 12:55
JAI TROUVER UN REMPLACANT POUR QUAND BOUVARD SERA TROP VIEUX POUR ECRIRE LA DERNIERE PAGE DU FIGARO
http://l-autofictif.over-blog.com/
haha je suis tombé sur ce blog après être allé sur technikart
#58
Posté 29 janvier 2009 - 11:34
http://www.deezer.com/track/15918
#60
Posté 30 janvier 2009 - 02:08
"-In my world you can be everything you want to be. But first, your world has to be mine.
-J'ai compris, t'es le type du Monopoly. Mono poly. Ce qui est intéressant c'est que dans votre Mono poly peu importe le nom des rues, ce qui importe c'est leur prix.
-Things are more complex than we are.
-Sure, sure...
-Follow me."
Et les deux non-amis continuent leur discussion en enjambant les corps dans des espaces de silence.