
Parole libre! Parole vive!
#1
Posté 21 juillet 2007 - 07:36
Toutelapoesie.com est un site de poésie.
Nous avons la chance librement d'y publier des textes sur le salon principal et son petit salon.
Les discussions sont possibles dans le sujet ouvert par Wlpd et celui-ci. Comme dans tant d'autres à venir.
Une restructuration positive, contructive est pensée et réfléchie. Ajoutons notre réflexion pour donner à TLP de nouvelles lettres de noblesse.
Création d'un recueil?
Ouverture de sujet de discussion autour de thèmes poétiques?
Mes interrogations ouvertes: faut-il laisser à tout rompre des discussions grossières et en rien poétiques sur un site qui n'en porte pas le nom? Ou ne faut-il pas plutot encourager ces mêmes membres à débattre en privé ou sur des sites de chateries si nombreux sur le net?
Enfin pourquoi ne pas dire ce qui nous chagrine, nous prend au coeur ou nous révolte avec nos armes: nos plumes!
Cher nous! A nos poèmes et que nos cris ruent les brancards à coup de bâtons ou d'étendards sans pour autant imaginer que si tu avais l'arme je serais à terre... car le poète aussi divers soit-il aime, que parole ne tue mais qu'elle vive et fasse vivre!
Faisons vivre!
Sincèrement!
#2
Posté 21 juillet 2007 - 09:12
Amicalement,
Béa
#3
Posté 21 juillet 2007 - 09:17
http://www.toutelapoesie.com/index.php?act=Members
Je suis entrain d'effectuer des mises à jour sur le site et des modifications.
Tim
#4
Posté 22 juillet 2007 - 11:05
Pour moi,la poésie est la toile ornée de fines dentelles merveulleuses des paroles dont
la musique harmonieuse descend du ciel...
Amitiés,H.
#5
Posté 22 juillet 2007 - 11:16
#6
Posté 22 juillet 2007 - 11:59
merci de m'avoir inspirer en ce jour...
à bientôt j'espere...
#7
Posté 22 juillet 2007 - 12:28
Et avant que mon message ne soit lui aussi effacé :
Edité par qui le " recueil " ?
Par eoles.net, au hasard ...
#8
Posté 22 juillet 2007 - 09:21
#9
Posté 22 juillet 2007 - 10:11
1°
Mot formé de gros, qu'on applique presque toujours avec un sens défavorable à ce qui manque de ténuité, de finesse, de délicatesse. Un air grossier. Les parties les plus grossières d'une liqueur.
L'autre déploie sur celle des deux tables qui était vacante, un linge un peu grossier, mais blanc, MARMONTEL, Mém. VI.
Vêtements grossiers, ceux qui sont faits d'une étoffe grosse et de peu de valeur. Vapeurs grossières, celles qui paraissent composées de grosses parties parce qu'elles détruisent la transparence de l'air.
Traits grossiers, ceux qui, sans être irréguliers, n'ont pas la finesse ou la grâce des jolies figures.
Terme de minéralogie. Se dit d'un corps quand il a un air de rudesse joint à l'opacité.
Il se dit des aliments peu recherchés, ou de mauvaise qualité. Aliments grossiers. Nourriture grossière.
2°
Qui n'est pas délicatement fait, proprement fait. Ce bâtiment est d'une architecture grossière. Un travail grossier.
Il faut convenir avec eux que ces corps plaisent plus à la vue que des figures grossières, où l'on n'aperçoit ni uniformité, ni symétrie, ni unité, DIDER. Rech. philos. sur le beau, Oeuv. t. II, p. 424. dans POUGENS.
Par extension. Un essai grossier. Imitation grossière.
Grossière ébauche, ROTR. Bélis. III, 7.
3°
Fig. Il se dit de ce qui n'a rien de délicat, au moral.
Mais au lieu de goûter ces grossières amorces.... CORN. Cinna, V, 3.
Que ce discours grossier terriblement assomme ! MOL. Femm. sav. II, 7.
Cette privation de toutes pensées raisonnables et cette application totale de l'âme à un objet grossier, vain et inutile, est ce qui fait le plaisir de tous les jeux, NICOLE, Ess. mor. 1er traité, chap. 14.
Ils [les prodiges] sont l'appât grossier des peuples ignorants, VOLT. Sémiram. II, 7.
Les plaisirs grossiers, les plaisirs que peuvent goûter les hommes les plus bornés, même les animaux, par opposition aux plaisirs délicats qui demandent une certaine élévation ou culture d'esprit.
On dit dans le même sens : des désirs grossiers, des appétits grossiers.
4°
Fig. Mal poli, inculte de moeurs et d'esprit.
N'apprendras-tu jamais, âme basse et grossière.... CORN. Rodog. II, 2.
Villon fut le premier dans ces siècles grossiers.... BOILEAU, Art p. I.
Nous regardons l'idolâtrie comme la religion des peuples grossiers, et la religion qui a pour objet un être spirituel, comme celle des peuples éclairés, MONTESQ. Esp. XV, 2.
Je fus instruite en ce grossier climat à suivre la vertu sans en chercher l'éclat, VOLT. Alz. IV, 3.
Tu verras de chameaux un grossier conducteur, VOLT. Fanat. I, 4.
Je viens après mille ans changer ces lois grossières, VOLT. ib. II, 5.
De nos travaux grossiers les compagnes sauvages Partageaient l'âpreté de nos mâles courages, VOLT. Orphel. II, 6.
Substantivement.
Dans les promesses de l'Évangile, il ne se parle plus des biens temporels par lesquels l'on attirait ces grossiers [les Juifs], ou l'on amusait ces enfants, BOSSUET, Sermons, Septuag. 1.
5°
Qui suppose ignorance, sottise, maladresse.
Flatteuse illusion, erreur douce et grossière, CORN. Hor. III, 1.
Abus grossier, ROTR. St Gen. V, 2.
Osez-vous recourir à ces ruses grossières ? MOL. Mis. IV, 3.
Je veux bien en finissant cet avertissement, parmi les absurdités infinies de ses vains discours, en relever quatre ou cinq des plus grossières, BOSSUET, 5e avert. § 49.
....L'artifice est grossier, Tu te feins criminel pour te justifier, RAC. Phèd. IV, 2.
Ses contemporains, qui adoptaient les fables les plus grossières, ne crurent point les vérités que Marc Paul annonçait, VOLT. Moeurs, 142.
Ignorance grossière, grande, profonde ignorance.
N'avoir de quelque chose qu'une idée grossière, que des notions grossières, n'avoir de cette chose qu'une connaissance sommaire et imparfaite.
Dans un sens analogue : Ne donner qu'une idée grossière de quelque chose.
6°
Incivil, malhonnête. Un grossier personnage.
Je vous pardonne d'être un ignorant, mais je ne vous pardonne pas d'être un homme très grossier, qui a l'insolence de mêler dans cette querelle et de nommer des gens qui ne devaient pas s'y attendre, VOLT. Quest. miracl. Lett. 4.
Il est grossier comme du pain d'orge, il est très grossier ; expression familière fondée sur le double sens du mot grossier, qui se prend au moral pour la personne, et au physique pour le pain.
Substantivement. C'est un grossier. Quel langage tient cette grossière !
Injures grossières, injures qui consistent en termes insultants et bas.
Un défaut considérable qui en peut ternir beaucoup l'éclat [des harangues de Démosthène et d'Eschine], et qui me paraît contraire aux règles de la saine et bonne éloquence, ce sont les injures grossières que ces orateurs se disent de part et d'autre, ROLLIN, Hist. anc. Oeuv. t. VI, p. 130, dans POUGENS.
On dit dans un sens analogue : langage grossier, propos grossiers.
7°
Obscène. Il était grossier dans ses propos.
Lucien, tout ingénieux qu'il est, devient grossier sitôt qu'il parle d'amour, ST-ÉVREMONT, dans RICHELET.
Discours, propos grossiers, discours, propos contraires à la bienséance, à la pudeur.
8°
Marchand grossier. Cette locution vieillit ; on dit marchand en gros.
9°
S. m. Ce qui est grossier.
Le grossier et le bas, BOSSUET, 6e avert. 44.
XIIIe s.
Ne peut estre grossiers [taillandier], que il n'achate le mestier du roy, Liv. des mét. 44.
XVIe s.
Les rencontres et brocards d'Antonius estoient fort grossiers, AMYOT, Anton. 32.
Il estoit grossier et peu subtil de nature, AMYOT, ib. 29.
Un marchand grossier [en gros], demeurant rue Sainct Denys, à l'enseigne du gros Tournois.... PARÉ, t. III, p. 683.
Gros ; Berry, groussier, qui a de l'embonpoint : une jolie fille bien groussiere et bien fraîche ; provenç. grossier ; catal. grosser ; espagn. grosero ; portug. grosseiro ; ital. grossiere, grossiero.
Il me semble donc que bien avant l'injure, il faudrait bannir tous ceux ici dont la pensée, moins que fine, est simpliste, primitive et consensuelle. Ce sujet, par exemple, est tout à fait grossier. Proner la censure, bannir des membres parce qu'ils la contestent, c'est également extrèmement grossier.
#10
Posté 22 juillet 2007 - 11:48
Pour "Grossier (ière)", le Littré donne:
1°
Mot formé de gros, qu'on applique presque toujours avec un sens défavorable à ce qui manque de ténuité, de finesse, de délicatesse. Un air grossier. Les parties les plus grossières d'une liqueur.
L'autre déploie sur celle des deux tables qui était vacante, un linge un peu grossier, mais blanc, MARMONTEL, Mém. VI.
Vêtements grossiers, ceux qui sont faits d'une étoffe grosse et de peu de valeur. Vapeurs grossières, celles qui paraissent composées de grosses parties parce qu'elles détruisent la transparence de l'air.
Traits grossiers, ceux qui, sans être irréguliers, n'ont pas la finesse ou la grâce des jolies figures.
Terme de minéralogie. Se dit d'un corps quand il a un air de rudesse joint à l'opacité.
Il se dit des aliments peu recherchés, ou de mauvaise qualité. Aliments grossiers. Nourriture grossière.
2°
Qui n'est pas délicatement fait, proprement fait. Ce bâtiment est d'une architecture grossière. Un travail grossier.
Il faut convenir avec eux que ces corps plaisent plus à la vue que des figures grossières, où l'on n'aperçoit ni uniformité, ni symétrie, ni unité, DIDER. Rech. philos. sur le beau, Oeuv. t. II, p. 424. dans POUGENS.
Par extension. Un essai grossier. Imitation grossière.
Grossière ébauche, ROTR. Bélis. III, 7.
3°
Fig. Il se dit de ce qui n'a rien de délicat, au moral.
Mais au lieu de goûter ces grossières amorces.... CORN. Cinna, V, 3.
Que ce discours grossier terriblement assomme ! MOL. Femm. sav. II, 7.
Cette privation de toutes pensées raisonnables et cette application totale de l'âme à un objet grossier, vain et inutile, est ce qui fait le plaisir de tous les jeux, NICOLE, Ess. mor. 1er traité, chap. 14.
Ils [les prodiges] sont l'appât grossier des peuples ignorants, VOLT. Sémiram. II, 7.
Les plaisirs grossiers, les plaisirs que peuvent goûter les hommes les plus bornés, même les animaux, par opposition aux plaisirs délicats qui demandent une certaine élévation ou culture d'esprit.
On dit dans le même sens : des désirs grossiers, des appétits grossiers.
4°
Fig. Mal poli, inculte de moeurs et d'esprit.
N'apprendras-tu jamais, âme basse et grossière.... CORN. Rodog. II, 2.
Villon fut le premier dans ces siècles grossiers.... BOILEAU, Art p. I.
Nous regardons l'idolâtrie comme la religion des peuples grossiers, et la religion qui a pour objet un être spirituel, comme celle des peuples éclairés, MONTESQ. Esp. XV, 2.
Je fus instruite en ce grossier climat à suivre la vertu sans en chercher l'éclat, VOLT. Alz. IV, 3.
Tu verras de chameaux un grossier conducteur, VOLT. Fanat. I, 4.
Je viens après mille ans changer ces lois grossières, VOLT. ib. II, 5.
De nos travaux grossiers les compagnes sauvages Partageaient l'âpreté de nos mâles courages, VOLT. Orphel. II, 6.
Substantivement.
Dans les promesses de l'Évangile, il ne se parle plus des biens temporels par lesquels l'on attirait ces grossiers [les Juifs], ou l'on amusait ces enfants, BOSSUET, Sermons, Septuag. 1.
5°
Qui suppose ignorance, sottise, maladresse.
Flatteuse illusion, erreur douce et grossière, CORN. Hor. III, 1.
Abus grossier, ROTR. St Gen. V, 2.
Osez-vous recourir à ces ruses grossières ? MOL. Mis. IV, 3.
Je veux bien en finissant cet avertissement, parmi les absurdités infinies de ses vains discours, en relever quatre ou cinq des plus grossières, BOSSUET, 5e avert. § 49.
....L'artifice est grossier, Tu te feins criminel pour te justifier, RAC. Phèd. IV, 2.
Ses contemporains, qui adoptaient les fables les plus grossières, ne crurent point les vérités que Marc Paul annonçait, VOLT. Moeurs, 142.
Ignorance grossière, grande, profonde ignorance.
N'avoir de quelque chose qu'une idée grossière, que des notions grossières, n'avoir de cette chose qu'une connaissance sommaire et imparfaite.
Dans un sens analogue : Ne donner qu'une idée grossière de quelque chose.
6°
Incivil, malhonnête. Un grossier personnage.
Je vous pardonne d'être un ignorant, mais je ne vous pardonne pas d'être un homme très grossier, qui a l'insolence de mêler dans cette querelle et de nommer des gens qui ne devaient pas s'y attendre, VOLT. Quest. miracl. Lett. 4.
Il est grossier comme du pain d'orge, il est très grossier ; expression familière fondée sur le double sens du mot grossier, qui se prend au moral pour la personne, et au physique pour le pain.
Substantivement. C'est un grossier. Quel langage tient cette grossière !
Injures grossières, injures qui consistent en termes insultants et bas.
Un défaut considérable qui en peut ternir beaucoup l'éclat [des harangues de Démosthène et d'Eschine], et qui me paraît contraire aux règles de la saine et bonne éloquence, ce sont les injures grossières que ces orateurs se disent de part et d'autre, ROLLIN, Hist. anc. Oeuv. t. VI, p. 130, dans POUGENS.
On dit dans un sens analogue : langage grossier, propos grossiers.
7°
Obscène. Il était grossier dans ses propos.
Lucien, tout ingénieux qu'il est, devient grossier sitôt qu'il parle d'amour, ST-ÉVREMONT, dans RICHELET.
Discours, propos grossiers, discours, propos contraires à la bienséance, à la pudeur.
8°
Marchand grossier. Cette locution vieillit ; on dit marchand en gros.
9°
S. m. Ce qui est grossier.
Le grossier et le bas, BOSSUET, 6e avert. 44.
XIIIe s.
Ne peut estre grossiers [taillandier], que il n'achate le mestier du roy, Liv. des mét. 44.
XVIe s.
Les rencontres et brocards d'Antonius estoient fort grossiers, AMYOT, Anton. 32.
Il estoit grossier et peu subtil de nature, AMYOT, ib. 29.
Un marchand grossier [en gros], demeurant rue Sainct Denys, à l'enseigne du gros Tournois.... PARÉ, t. III, p. 683.
Gros ; Berry, groussier, qui a de l'embonpoint : une jolie fille bien groussiere et bien fraîche ; provenç. grossier ; catal. grosser ; espagn. grosero ; portug. grosseiro ; ital. grossiere, grossiero.
Il me semble donc que bien avant l'injure, il faudrait bannir tous ceux ici dont la pensée, moins que fine, est simpliste, primitive et consensuelle. Ce sujet, par exemple, est tout à fait grossier. Proner la censure, bannir des membres parce qu'ils la contestent, c'est également extrèmement grossier.
Ferais-tu toi aussi de l'ostracisme ?
Tu crains mon vieux !!
#11
Posté 22 juillet 2007 - 11:51
#12
Posté 22 juillet 2007 - 11:53
#13
Posté 23 juillet 2007 - 07:50
Pas besoin de répondre, ta perspicacité le fait pour moi.
Hahahaha !...
#14
Posté 23 juillet 2007 - 10:38
#15
Posté 24 juillet 2007 - 05:52
Tu as raison bine, moins le site se veut interactif et prendre en compte la parole de ceux qui le nourrissent, plus la pub prend de l'envergure (Paulo Coelho chez Monsieur Flammarion, en effet ça ne rigole plus !!) Serons-nous assez cons pour cliquer dessus ? Voilà l'interactivité à laquelle on veut nous mener, celle de cliqueurs de bandeaux.
Allez poètes, à vos plumes et vos panaches, défendez donc la liberté de votre piètre expression ! Sachant que votre avis disparaitra dans les douves de la censure forumerdique...
A moins que tous s'en fichent ce qui peut être une éventualité, dans ce cas soyez beaux, muets et dociles dans le meilleur des mondes !
#16
Posté 24 juillet 2007 - 09:28
Quant à défendre leur liberté d'expression, il faudrait qu'il y ait autre chose que des moutons de panurge, après que tous les auteurs ont été exclus. Il ne reste que les dénonciateurs et les pisse-froids, les vicieux et les pervers travestis en parangons de vertu.
Et ainsi, sans doute, s'en fichent-ils, fidèles de la secte des fans de Paolo Coehlo...
#17
Posté 24 juillet 2007 - 09:30
#18
Posté 24 juillet 2007 - 09:32
#19
Posté 24 juillet 2007 - 09:35
#20
Posté 24 juillet 2007 - 09:54
ou alors c'est la bavette que l'on a autour du cou,
pour se protéger de la soupe dans laquelle on crache...
Et quand les glaviots sont trop gras,
il est évident que l'on nous fait avaler le bavoir.
Action, reaction !
Cela tombe sous le sens.
Il faut être borné pour ne pas comprendre cela.
Ou alors accroc à tlp ...
Et dans ce cas, adieu au sens des réalités,
et on radote, et on rabache, et on rebat, et on répète, et on serine, et on...
Et on s'en prend maintenant à la publicité. Et aprés ???
C'est la moulinante à Chopin !
Mais que le spectacle continue.
La censure est là qui veille au grain.
Trop de liberté tue la liberté !
Attention les gars ! pour rester à l'affiche,
il faut vous renouveler.
Blablabla, ça va un moment.
Ou alors, jouez-nous, " ma femme s'appelle Maurice n°2 " !
bine déguisé en travelo ? ( pour le rôle...dans la pièce ) : " je ne m'appelle pas Maurice et pis c'est tout !!!
#21
Posté 24 juillet 2007 - 10:14
J'ai une proposition : rendre le site libre d'accès et gratuit ! C'est possible Mr comte et mademoiselle wldp où votre chef a besoin d'argent, à nouveau... ?
Cordialement,
Eden
#22
Posté 24 juillet 2007 - 11:14
PS: salut Eden. Peace.
#23
Posté 24 juillet 2007 - 11:19
''J'étais seul l'autre soir au Théatre-Français,
Ou presque seul, l'auteur n'avait pas grand succès...
C'était ''une soirée perdue'' ... ''
#24
Posté 24 juillet 2007 - 12:21
Comme d’habitude, l’impuissance rhétorique et mentale ne sait répondre que par l’ineptie et l’insulte. Toujours aucun argument, si ce n’est de se gargariser de sa bêtise et de sa nullité intellectuelle en faisant l’apologie de la médiocrité et de la prostitution. Et toujours les mêmes attaques personnelles, qui témoignent de la haine de ceux qui n’ont rien à dire à part défendre la censure de ceux qui pensent plus qu’eux. Après dire que je ne peux trouver une femme, on me traite de travelo, puis quoi après ? De tapette ? De bougnoule ? De sale youpin ? Ce serait à votre niveau normal, de faire tomber vos masques : derrière votre idée du RESPECT de l’autre, il y a surtout le visage affreux de la barbarie, du racisme, de l’homophobie, du rejet des différences, qu’elles soient politiques, de couleur de peau ou autres. C’est cela, la censure, le petit club intolérant que vous défendez. Au moins, assumez le, ce sera franc. Mais toujours le vice préfère se cacher derrière la vertu offensée…
PS: salut Eden. Peace.
Oh oui que j'aime ce que tu appelles betise et médiocrité !
C'est une vraie décompression, une joie réelle et un plaisir non dissimulé.
Un orgasme, quoi !
C'est vrai, je n'ai pas le front des intellectuels.
Je ne suis qu'un primitif qui grimpe aux arbres,
et qui bouffe même les chasseurs de papillon.
Mais j'écoute pousser la nature,
sans me demander si cette belle orchidée que voilà ,
sera parée de toutes les tares qu'il te plaît d'énumerer,
en te défendant d'y penser.
Tu fais dans l'obsession.
Ne t'inquiète pas, cela se soigne.
A force de se prendre les portes dans la figure....
C'est cela aussi la censure,
parce qu'on aura voulu imposer sa façon de mal penser,
ou plutôt de penser mal...
Et là , je sens que tu vas encore te prendre une porte...
Ne la vois-tu pas venir?
Aïe, aïe, aïe...J'ai déjà mal pour toi.
Elle où, la betise, finalement ?
Salut, bine ladent ( dure?...)
Je sai, je sais : " Je ne suis pas bine ladent et pis c'est tout !! "
#25
Posté 24 juillet 2007 - 12:34
#26
Posté 24 juillet 2007 - 12:49
Piaf a dit:''Was du nicht sagst!''Je ne défends rien à personne, je n’ai jamais censuré personne.

#27
Posté 24 juillet 2007 - 12:56
La seule pensée qui s’impose ici, c’est votre non pensée. Votre haine de la pensée et des intellectuels me rappelle votre ami Goering, qui disait sortir son revolver dès qu’il entendait le mot « culture ». Je ne défends rien à personne, je n’ai jamais censuré personne. Les seuls qui veulent interdire, qu’il veulent faire taire, c’est vous. Vous prétendez regarder la nature, et au nom de cela interdire la pensée. Moi je prétends penser, mais pas interdire de ne pas le faire. C’est toute la différence entre mon respect et votre intolérance. Mais votre rage haineuse vous aveugle, et comme il n’y a pas plus bête que celui qu ne veut pas comprendre, vous continuerez à allumer les bûchers pour réchauffer vos frustrations. Content tout de même que tu parviennes à jouir, cela ne semblait pas gagné, au vu de la frustration dont témoigne la haine qui te remplie. Quant à ton humour, je t’en prie, quand on a tout juste le niveau de pomper (mal encore) les répliques des Guignols de l’Info, on évite de la ramener.
Pourquoi pas Pol Pot ?
Lui, c'est lorsqu'il voyait des lunettes...
Je crois qu'entre les milliers de cranes entassées et autant de paires de binocles,
il y a un biziness à faire...
Celui des farces et attrapes, n'est-ce pas?
J'entends une porte qui va claquer...
#28
Posté 24 juillet 2007 - 01:14
La haine de la culture, de la libre critique, de la pensée, est commune à tout despotisme, c’est un symptôme grave de dérive des sociétés libres vers le totalitarisme. Le fait qu’un président décomplexé, et que d’autres cliques fanatiques s’en vantent, n’est que le révélateur d’une dérive des esprits, ou des bribes qu’il en reste. Ce n’est pas parce que les crimes ne sont pas encore là , que la dynamique n’est pas en route. La chasse aux sorcières organisée sur ce site en est la preuve.
J’aime mieux avoir raison tout seul, que tort avec la meute. Mais vous aimez les hordes, les lynchages, la justice bestiale de la foule. Vous défendez la masse contre la culture, la force brutale contre l’intelligence, la haine de l’autre contre le droit à la différence. Votre mépris ironique est la marque de fabrique des prisons de l’esprit. En fait de RESPECT, vous professez systématiquement la haine de l’autre, du différent, du barbare. Ce faisant, c’est vous que vous renvoyez aux ténèbres de l’humanité.
Bien sûr, vous rirez encore. Riez, gaussez-vous de ce rire qui endort la conscience si vous voulez. Mais ne vous voilez plus la face : assumez ce que vous êtes. Je suis seul, et vous êtes combien ? Qui a la force ? Qui se plait en groupe à laminer un seul, en l’attaquant sur sa personne, en l’insultant, en le vouant aux gémonies, en ironisant sur ses mots comme sur son être ? Vous reconnaissez-vous ?
#29
Posté 24 juillet 2007 - 01:21
Piaf répète:''Was du nicht sagst!'' et ajoute:''Du bist ein ...''Je dis et je répète que je n’ai jamais censuré qui que ce soit, je n’ai jamais empêché qui que ce soit de s’exprimer. Vous pouvez le nier, mais vous savez que ce n’est pas vrai.
#30
Posté 24 juillet 2007 - 01:33