Avec une belle maestria, on pourrait tuer la malaria...
Non, les moustiques, c'est important, même si c'est moins méchant qu'un taon.
Tous les gens ne valent pas autant, et, toi, tu n'es jamais content !
Il faut des riches au paradis, et donc des pauvres, aussi, pardi !
C'est qu'on aurait un choc, dans notre vie en toc
Où derrière les fagots, on saisit un gogo
Nourri du Saint-Frusquin, à le rendre mesquin...
S'il est bien inhibé, on aura des bébés,
Tandis que les souris seront là s'il sourit...
Il vomira son riz, surtout s'il a trop ri,
Tordu sur la cuvette du wc plus trop net...
Un étonnant enjeu pour miser à ce jeu,
Tu sais ce que tu perds, avec ton œil d'expert...
Il faut qu'on te supplie, jusqu'à ton dernier pli ?
On te juge de là-haut, même jusqu'à Bornéo...
N'empêche que c'est marrant de chasser un varan,
N'importe quel serpent, ou créature de Pan,
Et l’on se sent si fort quand, dans le sol, on fore...
Le gaz ou le pétrole, de quoi réjouir un troll,
Le gnome traditionnel d'un récit passionnel,
Emergeant du passé, sous la poussière tassée...
Mais, surtout, ce qu'on aime, c'est le joyeux Golem
En terre ou en argile, pataud ou bien agile,
Narquois et bon enfant, il vous dévore un faon :
Terrifiant, ce ragoût, mais vraiment quel bon goût !

ANTICONSTITUTIONNELLEMENT
Débuté par Jacques Raffin, juin 21 2012 08:28
double acrostiche délire mythes
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 21 juin 2012 - 08:28
#2
Posté 22 juin 2012 - 08:26
Essaye donc les mots croisés tu auras du succès
Mais je t'en prie arrête le massacre avec tes acrostiches
Mais je t'en prie arrête le massacre avec tes acrostiches
#3
Posté 22 juin 2012 - 09:37
C’est dans le grand miroir que j’ai vu ce matin
À quel point la camarde avait fait son chemin.
Nuageux mélanome qui me couvre les mains,
Carcinome cutané, caché sous le satin,
Elles se multiplient vite, les cellules affolées,
Rongeant les noires amarres de mon âme vérolée…
À quel point la camarde avait fait son chemin.
Nuageux mélanome qui me couvre les mains,
Carcinome cutané, caché sous le satin,
Elles se multiplient vite, les cellules affolées,
Rongeant les noires amarres de mon âme vérolée…
#4
Posté 02 juillet 2012 - 09:44
C'est dans l'enfance qu'on voit notre destin se nouer :
On y apprend le rôle que l'on va nous faire jouer,
Mais rien ne nous empêche de vouloir nous instruire
Pour comprendre un peu mieux ce qui va nous détruire.
Regardant bien plus loin que les manuels de classe,
En efforts quotidiens, on fait fondre la crasse,
Nous donnant la sagesse que les années confèrent...
Dans nos derniers instants, quand plus personne n'écoute,
Rayonnant du savoir d'une vie qui s'égoutte,
Enfin l'on sait vraiment ce qu'on aurait dû faire...
Aussi étiqueté avec au moins un de ces mots-clés : double acrostiche, délire, mythes
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