Des femmes...Des hommes
A quoi pense-t-il donc ce petit monsieur qui est là ?
Je sais bien...il ne pense pas ! Il ne pense plus celui là !
Est-il fatigué d'être sempiternellement repris par tous des cons ?
Alors il se tait et cela le repose, car tout ça ,c'est déjà bien bon...
Parfois le silence, c'est un vacarme comme un grand tintamarre
De mots divers, très importants et tous très variés et bizarres
De ces mots bruyant qui parlent, ou bien ce sont des mots très doux
Des mots très forts qui bourdonnent sans fin dans ma tête de fou
Le soir en m'endormant, seul dans mon lit je re-songe à ce jour
Un jour qui a passé avec des beaux poèmes de quatre sous
Oui ! Quelques fois!Osez lancer de ces mots pleins d'amour
Mais aussi parfois se coltiner avec des mots qui sont très en dessous
Alors vouloir écrire que tout va pour le mieux dans ce monde
Mais aussi écrire que pour soi même, il y a ce cœur qui gronde
Entre un beau poème qui est écrit, il y a un grand silence qui exagère
Je sais bien des mots passibles, et je sais toute la mort étrangère
Sans vouloir m’immiscer da ns vos petites affaire personnelles
Je vois bien que chez vous les histoires restent sempiternelles
Entre deux vérités, celle qui va pour ici et celle qui va chez vous
Serons nous un jour ou l'autre qui vient, pour parler de ce Dieu et de tous
Le silence aujourd'hui et le grand tintamarre des lendemains
Y aura-t-il des guerres futures, qui sont inscrites dans notre grande foi ?
Il n'y a pas de destin guerrier car cela reste la seule, la vraie loi
Nous partagerons un jour ce pain et nous resterons humains
Plus de temps à faire des guerre interminables que faire l'amour
il est partage aussi et ce n'est pas que consommation du sexe
Parfois je me dis que pense-t-il donc ? A-t-il peur que je le vexe ?
Des femmes ignorent la virginité continuelle, mais moi je les aime ce jour
Considérer le sexe, une récompense, un repos et en faire sa basse cour
C'est faire de toutes les femmes des objets ou une génitrice soumise
Je n'aime pas cette idée que la femme, elle reste sans un véritable amour
J'aime cette idée de la sage conseillère, la vérité celle qui est admise