Il s’en faut bien peu
Pour que nos cœurs crochent
A celles et ceux
Qui près de nous s’approchent.
Quelques regards,
Une discussion,
Et à l’unisson
L’on est hagard.
Et puis je me rappelle
Comment elle dansait ;
Telle une hirondelle
Pure qui s’envolait.
J’aime tant voyager
De contrée en contrée,
Mais son âme blanche d’hiver
Reste une terre de mystère
Tente encore de me distancer,
Je ne te laisserais plus fuir,
Car quand tout a enfin commencé
C’est quand je t’ai laissé partir.