J'aime tant être seul dans mon isolement
Avec le caprice combien méditatif
Que me donne toujours le bercement calmant
De tes yeux splendides et communicatifs.
Le lapis-lazuli dispute à l'émeraude
La jalousie basse dans un état curieux,
Tes yeux m’invitent à aller à leur maraude
Pour mieux envisager le regard luxurieux.
Paradis céleste, monde de rêverie
Où le saphir rejoint l’amie chrysoprase,
Tes yeux me séduisent jusqu'à la beuverie,
Tes yeux sont si divins que grippent les phrases.
Les couleurs de l'éden et le bleu de l'azur,
De honte rougiront et frémiront de peur
S'ils savent des tons de tes yeux la démesure
Car tes yeux sont si beaux que perce la stupeur.