-merci, merci à tous les trois...
est-ce que tu voudrais bien me passer la main, Boétiane aaahh, je viens, Aure^^
~je veux que la maladie de l'infini ne soit pas mortelle~
et gravite sur terre une mèche de travers
de séquelles en mers miniatures
au canevas, curcumas noirs
il n'y aurait plus de bords -le lait piraterait l'or,
le martyr des secondes ouvrirait d'insolents palais
il faudrait la halte malachite
rouge farfelu et le brin coagulé
l'amer friserait le brodeur
- au-dessus
l'oeil satellite serait spectacle redoutable
facture & factory
de meurtre nymphéa sur nos lèvres ruées
- dors jardin de ruine
au fil du jour de cire
les marches en feuilles tomberont,
lève ton armée de cygnes adolescents
contre les grands glaciers de Magellan
-inachève
la vallée de ses suds
pour des fragments stellaires
de cratères
pour ne pas entrer les chevilles ouvertes
-pupille posée, talon levé
encore
un chant d'angle
poudré d'infini
- insulte bleue épine
encore
un cri cerné
de fumées cuivres
- animant tes cendres
- et puis
un calme
que le sang étarque
~allez rapproche-t o i, oui mais beaucoup plus près~
fissile et déchaînée, hanche de chair à midi dévorée
molécule Eyja fjalla jökull* * eiya fiatla yƏ kutl
culte rénové, transparent
l'indigo du lendemain
aux tripes vestibulaires
enfouit
l'autel perplexe
- dévorant
le temps allège l'ombellifère
nocturne de ta joue
ouverte
allons
retour en -arrière,
trou noir.
horizon des événements
s'entrechoquent sans bruits capsule de vie, pommette corolle dimensionnelle
- l'absolu tesseract
terminant la bascule.
de soleils violents disloquant les pangées
brin d'herbe parcheminé
tête ouverte, démontée
into
one continent of two
tout tombe
au grillage des zoos
la bleue infectée de bruits
jette les runes
de vents tordus
au soir
les bouches crachent
- oui la mort s'allonge sur nos paupières
de papier
~allez, rapproche-t o i
ab ovo de limbes,
parce que le front se lève ;
c'est la diane, aphrodite,
c'est le tumbao,
parce que la vahiné n'est pas assez
à son Gauguin
les notes de tête sont-elles nivéales, frisant les mantras et les bouts de grège
et les chorégraphies prises au piège,... ?
-oui mais tellement dépalissées
parce que nos crinolines
sont des squelettes
d'apaches

Inachève
#31
Posté 10 décembre 2014 - 11:15
#32
Posté 18 janvier 2015 - 01:05
~je veux que la maladie de l'infini ne soit pas mortelle~
et gravite sur terre une mèche de travers
de séquelles en mers miniatures
au canevas, curcumas noirs
il n'y aurait plus de bords -le lait piraterait l'or,
le martyr des secondes ouvrirait d'insolents palais
il faudrait la halte malachite
rouge farfelu et le brin coagulé
l'amer friserait le brodeur
- au-dessus
l'oeil satellite serait spectacle redoutable
facture & factory
de meurtre nymphéa sur nos lèvres ruées
- dors jardin de ruine
au fil du jour de cire
les marches en feuilles tomberont,
lève ton armée de cygnes adolescents
contre les grands glaciers de Magellan
-inachève
la vallée de ses suds
pour des fragments stellaires
de cratères
pour ne pas entrer les chevilles ouvertes
-pupille posée, talon levé
encore
un chant d'angle
poudré d'infini
- insulte bleue épine
encore
un cri cerné
de fumées cuivres
- animant tes cendres
- et puis
un calme
que le sang étarque
~allez rapproche-t o i, oui mais beaucoup plus près~
fissile et déchaînée, hanche de chair à midi dévorée
molécule Eyja fjalla jökull* * eiya fiatla yƏ kutl
culte rénové, transparent
l'indigo du lendemain
aux tripes vestibulaires
enfouit
l'autel perplexe
- dévorant
le temps allège l'ombellifère
nocturne de ta joue
ouverte
allons
retour en -arrière,
trou noir.
horizon des événements
s'entrechoquent sans bruits capsule de vie, pommette corolle dimensionnelle
- l'absolu tesseract
terminant la bascule.
de soleils violents disloquant les pangées
brin d'herbe parcheminé
tête ouverte, démontée
into
one continent of two
tout tombe
au grillage des zoos
la bleue infectée de bruits
jette les runes
de vents tordus
au soir
les bouches crachent
- oui la mort s'allonge sur nos paupières
de papier
~allez, rapproche-t o i
ab ovo de limbes,
parce que le front se lève ;
c'est la diane, aphrodite,
c'est le tumbao,
parce que la vahiné n'est pas assez
à son Gauguin
les notes de tête sont-elles nivéales, frisant les mantras et les bouts de grège
et les chorégraphies prises au piège,... ?
-oui mais tellement dépalissées
parce que nos crinolines
sont des squelettes
d'apaches
parce que l'écu de raphia sépia
a craché l'inouï en plein cœur de la conque
parce qu'elle était là
-bleu immobile, nymphéa
#33
Posté 21 janvier 2015 - 08:15
~je veux que la maladie de l'infini ne soit pas mortelle~
et gravite sur terre une mèche de travers
de séquelles en mers miniatures
au canevas, curcumas noirs
il n'y aurait plus de bords -le lait piraterait l'or,
le martyr des secondes ouvrirait d'insolents palais
il faudrait la halte malachite
rouge farfelu et le brin coagulé
l'amer friserait le brodeur
- au-dessus
l'oeil satellite serait spectacle redoutable
facture & factory
de meurtre nymphéa sur nos lèvres ruées
- dors jardin de ruine
au fil du jour de cire
les marches en feuilles tomberont,
lève ton armée de cygnes adolescents
contre les grands glaciers de Magellan
-inachève
la vallée de ses suds
pour des fragments stellaires
de cratères
pour ne pas entrer les chevilles ouvertes
-pupille posée, talon levé
encore
un chant d'angle
poudré d'infini
- insulte bleue épine
encore
un cri cerné
de fumées cuivres
- animant tes cendres
- et puis
un calme
que le sang étarque
~allez rapproche-t o i, oui mais beaucoup plus près~
fissile et déchaînée, hanche de chair à midi dévorée
molécule Eyja fjalla jökull* * eiya fiatla yƏ kutl
culte rénové, transparent
l'indigo du lendemain
aux tripes vestibulaires
enfouit
l'autel perplexe
- dévorant
le temps allège l'ombellifère
nocturne de ta joue
ouverte
allons
retour en -arrière,
trou noir.
horizon des événements
s'entrechoquent sans bruits capsule de vie, pommette corolle dimensionnelle
- l'absolu tesseract
terminant la bascule.
de soleils violents disloquant les pangées
brin d'herbe parcheminé
tête ouverte, démontée
into
one continent of two
tout tombe
au grillage des zoos
la bleue infectée de bruits
jette les runes
de vents tordus
au soir
les bouches crachent
- oui la mort s'allonge sur nos paupières
de papier
~allez, rapproche-t o i
ab ovo de limbes,
parce que le front se lève ;
c'est la diane, aphrodite,
c'est le tumbao,
parce que la vahiné n'est pas assez
à son Gauguin
les notes de tête sont-elles nivéales, frisant les mantras et les bouts de grège
et les chorégraphies prises au piège,... ?
-oui mais tellement dépalissées
parce que nos crinolines
sont des squelettes
d'apaches
parce que l'écu de raphia sépia
a craché l'inouï en plein cœur de la conque
parce qu'elle était là
-bleu immobile, nymphéa
- au jour des naseaux
s'épuise le sexe défait
une ouverture de pli
tête en tête
ocre entr'ouverte cœur enduit lymphe qui a
le sépale tordu
non
je ne cueillerai rien
de filtré par l'infante
le jupon crevé
#34
Posté 21 janvier 2015 - 11:00
~je veux que la maladie de l'infini ne soit pas mortelle~
et gravite sur terre une mèche de travers
de séquelles en mers miniatures
au canevas, curcumas noirs
il n'y aurait plus de bords -le lait piraterait l'or,
le martyr des secondes ouvrirait d'insolents palais
il faudrait la halte malachite
rouge farfelu et le brin coagulé
l'amer friserait le brodeur
- au-dessus
l'oeil satellite serait spectacle redoutable
facture & factory
de meurtre nymphéa sur nos lèvres ruées
- dors jardin de ruine
au fil du jour de cire
les marches en feuilles tomberont,
lève ton armée de cygnes adolescents
contre les grands glaciers de Magellan
-inachève
la vallée de ses suds
pour des fragments stellaires
de cratères
pour ne pas entrer les chevilles ouvertes
-pupille posée, talon levé
encore
un chant d'angle
poudré d'infini
- insulte bleue épine
encore
un cri cerné
de fumées cuivres
- animant tes cendres
- et puis
un calme
que le sang étarque
~allez rapproche-t o i, oui mais beaucoup plus près~
fissile et déchaînée, hanche de chair à midi dévorée
molécule Eyja fjalla jökull* * eiya fiatla yƏ kutl
culte rénové, transparent
l'indigo du lendemain
aux tripes vestibulaires
enfouit
l'autel perplexe
- dévorant
le temps allège l'ombellifère
nocturne de ta joue
ouverte
allons
retour en -arrière,
trou noir.
horizon des événements
s'entrechoquent sans bruits capsule de vie, pommette corolle dimensionnelle
- l'absolu tesseract
terminant la bascule.
de soleils violents disloquant les pangées
brin d'herbe parcheminé
tête ouverte, démontée
into
one continent of two
tout tombe
au grillage des zoos
la bleue infectée de bruits
jette les runes
de vents tordus
au soir
les bouches crachent
- oui la mort s'allonge sur nos paupières
de papier
~allez, rapproche-t o i
ab ovo de limbes,
parce que le front se lève ;
c'est la diane, aphrodite,
c'est le tumbao,
parce que la vahiné n'est pas assez
à son Gauguin
les notes de tête sont-elles nivéales, frisant les mantras et les bouts de grège
et les chorégraphies prises au piège,... ?
-oui mais tellement dépalissées
parce que nos crinolines
sont des squelettes
d'apaches
parce que l'écu de raphia sépia
a craché l'inouï en plein cœur de la conque
parce qu'elle était là
-bleu immobile, nymphéa
-au jour des naseaux
s'épuise le sexe défait
une ouverture de pli
tête en tête
ocre entr'ouverte coeur enduit lymphe qui a
le sépale tordu
non
je ne cueillerai rien
de filtré par l'infante
le jupon crevé
dans quelle cage large traîne le néant ?
nous sommes à l'étage, escalator furor,
balcons aux mufles décadents
- Abxxx aime ceci
#35
Posté 25 avril 2015 - 07:04
~je veux que la maladie de l'infini ne soit pas mortelle~
et gravite sur terre une mèche de travers
de séquelles en mers miniatures
au canevas, curcumas noirs
il n'y aurait plus de bords -le lait piraterait l'or,
le martyr des secondes ouvrirait d'insolents palais
il faudrait la halte malachite
rouge farfelu et le brin coagulé
l'amer friserait le brodeur
- au-dessus
l'oeil satellite serait spectacle redoutable
facture & factory
de meurtre nymphéa sur nos lèvres ruées
- dors jardin de ruine
au fil du jour de cire
les marches en feuilles tomberont,
lève ton armée de cygnes adolescents
contre les grands glaciers de Magellan
-inachève
la vallée de ses suds
pour des fragments stellaires
de cratères
pour ne pas entrer les chevilles ouvertes
-pupille posée, talon levé
encore
un chant d'angle
poudré d'infini
- insulte bleue épine
encore
un cri cerné
de fumées cuivres
- animant tes cendres
- et puis
un calme
que le sang étarque
~allez rapproche-t o i, oui mais beaucoup plus près~
fissile et déchaînée, hanche de chair à midi dévorée
molécule Eyja fjalla jökull* * eiya fiatla yƏ kutl
culte rénové, transparent
l'indigo du lendemain
aux tripes vestibulaires
enfouit
l'autel perplexe
- dévorant
le temps allège l'ombellifère
nocturne de ta joue
ouverte
allons
retour en -arrière,
trou noir.
horizon des événements
s'entrechoquent sans bruits capsule de vie, pommette corolle dimensionnelle
- l'absolu tesseract
terminant la bascule.
de soleils violents disloquant les pangées
brin d'herbe parcheminé
tête ouverte, démontée
into
one continent of two
tout tombe
au grillage des zoos
la bleue infectée de bruits
jette les runes
de vents tordus
au soir
les bouches crachent
- oui la mort s'allonge sur nos paupières
de papier
~allez, rapproche-t o i
ab ovo de limbes,
parce que le front se lève ;
c'est la diane, aphrodite,
c'est le tumbao,
parce que la vahiné n'est pas assez
à son Gauguin
les notes de tête sont-elles nivéales, frisant les mantras et les bouts de grège
et les chorégraphies prises au piège,... ?
-oui mais tellement dépalissées
parce que nos crinolines
sont des squelettes
d'apaches
parce que l'écu de raphia sépia
a craché l'inouï en plein cœur de la conque
parce qu'elle était là
-bleu immobile, nymphéa
-au jour des naseaux
s'épuise le sexe défait
une ouverture de pli
tête en tête
ocre entr'ouverte coeur enduit lymphe qui a
le sépale tordu
non
je ne cueillerai rien
de filtré par l'infante
le jupon crevé
dans quelle cage large traîne le néant ?
nous sommes à l'étage, escalator furor,
balcons aux mufles décadents
dans quelle rage nage l'ogre
salivant à la dévoration
de gibiers aux pétales blancs ?
PS.: peut-être ne devrait-on ajouter que ses propres vers, le texte commence à prendre de la longueur, qu'en pensez-vous ??
- Abxxx aime ceci
#36
Posté 25 avril 2015 - 08:45
Je suis d'accord !
#37
Posté 26 avril 2015 - 10:30
bon b'en il n'y a plus qu'à attendre le chef d'orchestre
où est-il ? . . . dis, t'es où chef d'orchestre ??
nos instruments sont accordés ; )
clef de si : p
#38
Posté 26 avril 2015 - 11:35
je ne comprends absolument rien à ce texte
#39
Posté 26 avril 2015 - 12:42
l'intention d'Abxxx est précisée en page 1 : )
en fait, j'aspirais à une corde continue, ludique et jamais repue
une suite de parenthèses
ouvertes
ces tirets ce sont
des cadavres
ex quis,
ils ne notent pas la fin -
c'est le début
avec toutes ses éclipses,
la spirale
inachevée
-commencée
en cours
de route
l'enjeu du cadavre exquis n'étant pas de faire sens : http://fr.wikipedia....re_exquis_(jeu)
à noter qu'il est ici réaménagé en fonction des contraintes virtuelles qui sont les nôtres^^
#40
Posté 26 avril 2015 - 08:55
au nuage mollusque ?
-tomber sur nos anges
- - -
merci
et merci Boé, pour tout
Si cela vous convient seulement,
j'aimerais poster un aperçu de nos mots, ensemble, juste de temps en temps, très peu... est-ce que ce serait bien ?
- bɔētiane aime ceci
#42
Posté 27 avril 2015 - 07:33
je dirais même plus : ce serait très bien : p
nous te laisserons donc le soin de faire le recap exhaustif quand bon te semblera : )
xxx
#47
Posté 02 mai 2015 - 11:43
.
#48
Posté 02 mai 2015 - 11:44
ba ! on est tous le plouc d'un autre
#50
Posté 03 mai 2015 - 10:55
Bocal mappemonde
les squames effeuillées
neroli amara
de la chute au temps largo
à sa circon-féerie
pour un cyprin doré.
Il tournera en rond...
#52
Posté 10 mai 2015 - 10:34
gouttes de pluie
sur les mains
-transparentes
griffes liquides
en lustres
pour demain
#54
Posté 13 mai 2015 - 06:27
Et le poisson rouge tourne toujours en rond...
#56
Posté 15 mai 2015 - 01:18
.
#57
Posté 15 mai 2015 - 01:32
oh mais pourquoi
ce sont des décrocheurs
d'atomes, pourtant . . .
#58
Posté 15 mai 2015 - 01:54
.
#59
Posté 15 mai 2015 - 02:08
.
#60
Posté 15 mai 2015 - 02:37
.