Dans mon sombre gourbi
Je fuis sage la nocive tyrannie
De tous ces êtres aux viles pensées
Dans l’usage de critiques fourbies
A mon trouble mes yeux se voilent
Dans mon cœur que j’entoile
Dans la fraîcheur d’un vieux fourneau
Pour le laisser aller vers les étoiles
Et mon âme dans son vaste paradis
S’émerveille de tous ces ‘on dit’
Ceux qui n’ont jamais de prise utile
Sur le bel esprit du poète attendri
Au jeu de ping-pong les sages mots
Se transmettent amusé un joli écho
Enrubannés d’or et d’étincelants ressacs
Ils reviennent à ma pensée, encor plus beaux
Et le poète amical se réjouit sainement
De ce mot étourdi et trop violent
Il lui offrira l’avantageux du doux courroux
Pour Briller au fond de son sentiment
Il redeviendra perle, joyau de sa bonté
Transformé sous sa plume enjouée
En beauté délaissant toutes acrimonies
Contre les esprits voyageant trop rusés
Au matin de toutes les saisons brilleront
Ces soleils d’amitiés où les jurons
Resteront pour l’éternité raffinement
D’avoir engendré mille et mille unions
Oh mes amis, ne tentez pas de ravager
Rappelez-vous l’adage de ‘l’arroseur arrosé’
N’ayez souci vous ne le serez que de splendeurs.
Comme l’esprit sain des âmes désintéressées
☼ŦC