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Qu'il est doux ce rêve éveillé
Dans ton lit aux draps parfumés
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D'une nuit brûlant ses soleils,
Encens d'étoiles sans sommeil
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Que nos corps alors enlacés
N'avaient de cesse d'allumer.
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Ô joies qui encore m'ensorcellent
Fêtes des sens toujours nouvelles,
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Qu'il est fou ce rêve imagé
Et si chaud de l'avoir touché...
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