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Avalanche des raisins d'or

Prose poétique

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1 réponse à ce sujet

#1 clemouchka

clemouchka

    Tlpsien ++

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 16 décembre 2016 - 10:32

 Il y a dans mon cœur des citrons aux rousses virtualités pyramidales, des machinations de feu ou ma langue liquide perd ses rouleaux végétales… . Mon cœur est plein d’une torpeur vibrisse, mes doigts s’écrasent sur le firmament de mes lunules statiques, sur la cime de mes lunules soleil, chair de champignons, aux chevelures acoustiques, des insectes polymorphies, les vignes accroupies, de lèpres mécanistes, les visages éclopés d'hypoténuses cigarettes, des transferts interdits… . Je pense aux astres baisers, les fruits accrochés devant les syncopes péchés, reflets dansants sur les doigts en cheminées, chaos. Symbiotiques cris, des blondeurs de raisins parcimonieux, acryliques cimetières, spectres  d'os lacrymaux.. des plantes cerveaux, yeux des senteurs naitre, tiédeur des phrases contrites, les papillons yeux…

Je vois dans le sein de mes organes fictifs, les astronautes pigeonniers, à la nature déployée, des oiseaux biologiques. Désossements verticaux, laves siamoises, des planètes téléguidées, par un enfant cruciverbiste, déontologie des bougies tsiganes, des flammes masquées, de visages euristiques, des cellules aux représentations personnifiées, des anges fragmentés, flammes onirismes, les contemplations blessées, les cicatrices mathématiques, les digitales flaques, des torpides suicides absences.. . Les couturières transparences, de nos maïs puisatiers, des verdures asymptotiques, aux aisselles taciturnes, volages des libellules chirurgicales, aux blonds tétons, de la chère sirène jouant au billard avec des cerises inégalées. Des libations aux ventouses orgueilleuses, aux pachydermes oiseaux microcéphales, aux fermentations syphilitiques, des azurs chromosomiques, volés… ! O pain des liquéfactions neuronales, des déliquescences nosocomiales, plasticités des engelures de vins, des scalènes araignées, aux mains de pierre, acide. O rivière tapisserie des couleurs brunies, des automnes capillaires, o cheveu singe les robotisations psychanalytiques, des effluves païennes, des symétries des nues maritimes pensées, à des chaussettes de coucher hyperventilation, des soleils quantitatifs, aquatiques, polarisant les douches de lumière métallique, cristallisés dans les molécules tièdes, des rayons de sébum, vipère ! O araignée danseuse sur les filaments de la lune éther.

 

 

 

 

***

O les pierres chantent des degrés graduels, dans les pâmoisons des baleines hilares.. Les pierres pleurent des mycoses éoliennes, des fragrances, cithares pachydermiques ! O nues circonflexes, des jumeaux équilatéraux, des jumeaux dithyrambiques, des télescopes pyramidaux, microscopiques, les téléguidés soleils, remplis d’alcool oreilles ! O végétaux dont les terminaisons pleutres, des absences doxologies, sont des microprocesseurs, papillons hypostases, des fluidités bénies, les veines transparences. Des oiseaux cosmétiques, des virgules ek-statiques, des polynomiaux, doigts hermaphrodismes, les abstractions de cygnes, aux angulaires cailloux transpirés, floconneux sirènes, homologies, les flagelles d'encres, des neuronales feuillées diététiques, alimentaires, des corps châtiés, de commotions, de clairvoyances athées !!! O je ris des libellules bègues, aux cristallisations naissances ! Les champignons aux articulations néologiques, aux articulations, des vendanges pluies, par aliénation, des citrons temporaux, les signes circonflexes.. Nuages supputant les fraicheurs, des chrysalides étoiles en topologies, des alvéoles cunéiformes, les évanescences vacuités, des chevelures imagos, des complexions être...

O je rêve d’éclatements charnels, des rousseurs cous, des rousseurs hydrolats, aux incandescences, les abeilles squelettes, aux acryliques effluves, les insuffisances d'arbres, aux voyelles, des polarisations de chimies tordues, les chairs écologiques, les araignées plastiques, les vides achalandés, des rousseurs esthétiques, des inflorescences destinées ... . Aux rires ultras- violets, aux rires chimériques, démontés par les vecteurs, des sourires tétraplégiques, de vins ordinateurs ! Des tâches de vibrisses en feu, sur les visages, des plantes déliquescentes, « automorphismes des araignées citrons, » / bière. Des arachnides dansants, sur les timbres célestes, sur les voutes élastiques, des enveloppes décharnées, de chairs patibulaires, artistiques, contre-productives, des testiculaires flammes astronautes, o Gagarine : jusqu’à quant me cacheras-tu ta lune aux fuseaux horaires administratifs? Peut être après les cratères viticoles, après la vigne, les billets de voyages lunaires, vers la trajectoire de tes téguments vitriols thermomètres, dans les espaces omoplates, des boules renfermant toutes les dimensions anatomiques, où…pleures tu les fusées cartomanciennes…? Gagarine ! Restons égaux dans nos amours des trous noirs ! Ces étoiles parfumées « à l’alcool Raéliens, » que dis-je, à l’alcool des tisanes mendicités ! C’est-à-dire des étoiles parfumées, aux atomes cheveux.! Bigarrées des bougies, qui rient leur robe de gaz orangé, vers les rivières des trous de ver, comme des rivières aux lâchées neuronales, aux lâchées perpendiculaires, à la radiation ventrale… prout !



#2 Invité_Marcel Faure_*

Invité_Marcel Faure_*
  • Invité

Posté 17 décembre 2016 - 07:32

Un fulgurant lâché de mots dans une ambiance surréaliste.





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