Un jour j’eus affaire à forte partie
Il me fallait Avoir du pour et du contre
Car Tirer sur tout ce qui bouge par contre
N’eut pas touché, un brave à trois poils pardi
Ne soit pas Capitaine de bateau lavoir
N’écoute pas Les caquets de l’accouchée
Surtout ne Jette du cœur sur le carreau lavé
Dans la vie tout passe, tout lasse, tout casse
Nous ni pouvons rien Ce qui est fait est fait
J’imagine au loin ce que Cela vous plait à dire
Mais mon ami changer de peau est un sourire
Chaque âge à ses plaisirs ce n’est pas un méfait
Bâtir à chaux et à sable la masure d’un amour sain
Pour Aller son bonhomme de chemin vers le bonheur
Enjoint de ne pas contempler son nombril en faveur
Mais bien d’être de l’autre cotès de la barrière, en conjoint
Aussi réagissez ne prenez pas un grand Coup de massue
Anticipez, demandez le bon Coup de main de l’aimant
Il saura lui altruiste vous rendre le Coup de pouce rageant
Car son Coup de sang à vous aimer sera sa plus value
Vous retrouverez alors un amour à vous couper le souffle
Cela fait partie des us et coutumes des rites amoureux
Couver sous la cendre vos désirs de ce bien astucieux
Et par trop rassuré Vous vous croirez dans un moulin
Soyez patient pour reprendre votre deuxième souffle
Je suis persuadé que vous m’en direz des nouvelles
Oui il faut Dire son fait à celui que l vous interpelle
C’est vrai qu’entre promettre et tenir on se camoufle.
Que voilà bien moult expressions de l’ordinaire quotidien
J’ai un grand coup cœur à les entendre, à les dire, à les lire
Elles sont comme un petit pense bête qui vous fait sourire
Quand je pense à ceux qui les ont employés à leur prime entretien
ƒC