Dans le silence de la maison, le téléphone sonne : « pensez-vous que les morts revivront un jour ? ». Ce sont les témoins de Jéhovah. J‘esquive la question, je me confonds en excuses, en politesses, pour ne pas y répondre. Je souhaite une bonne fin d’après-midi. Je retourne au silence de l'écriture : comment expliquer que je ne crois qu’en l’intercession de l’écriture, pour conférer cette sorte d’éternité ?
2/10/17