Au bout du temps, il y a tes bras forts en dehors des normes passagères,
pour envelopper mes rêves enracinés au grave d'un réveillé sommeil,
d'entrailles noires de bataille au secret du sincère...
protection nécessaire qui guide l'allant de mes élans les yeux ouverts,
et m'offre en choix les clés des mystères de la vie qui le ciel tètent.
Au bout du temps, il y a le hasard à la richesse des misères,
pour se muer parfois en destin qui, au sein de la vie allaite,
à la perception des lois des étoiles au ciel écarquillé de la terre...
et tonner et gronder à l'alerte d'une trop vieille planisphère,
criant et hurlant et suffoquant, piétinée, en perte d'oxygène.
