Tu brilleras longtemps dans ces sphères obscures,
Mes pinçons à la chair comme des falots bleus
Où les songes vieillis se souviennent si peu
De ce qui ne fut pas et qui couvre l’augure
Des amours imparfaits aux timides halos.
Et le cerne consume un fugace regret,
Elégant désaveu qui blanchit le fiasco,
Car tel est le dépit, tout est à désaimer…