Dans le chaos du temps
Où la vie n’est que vent,
Dans les instants présents
Que l’on paie par le sang.
La misère étalée,
Sert de lit à l’argent,
La puissance éclatée,
Aux propos dérangeants.
L’égoïsme naissant
Aux naturels Humains,
Sur les Peuples, abaissant
Leurs Frères au lendemain.
Une immuable loi,
Tenant le couperet,
Ordonnance de roi,
Dans le noir transparait.
Dans ce chaos vivant,
La faim en apparat,
Compte les survivants,
Aux Peuplades du bas.
Les yeux de leurs enfants,
Implorent l’étranger,
Quémandent un peu d’argent
Une aide, pour manger.
Mais les puissants Pays,
Détournent leur regard,
En abrégeant la vie
Nonobstant les égards.
L’hypocrisie des Grands,
Au Monde partagé,
Détournent, bien pensant,
Les profits engagés.
Cette misère là,
Fait le jeu du plus fort,
Enrichit ça et là
Les Monarques de mort.
Dans le chaos du temps,
Ou toute vie vécue
A marqué de son sang,
Tous ces Peuples reclus.
Misère de la vie,
Misère du bonheur,
Accrochant la survie,
Aux richesses du cœur.
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